1 iolence qu’elles imposent, des vérités actuelles, personnelles , dangereuses. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à tous ceux qui voudront

2 alité est précisément ce qui nous met en relation personnelle et immédiate avec Dieu : et que la relation d’un être déchu avec son

3 isément une force qui se manifeste par des ordres personnels , et ces ordres sont pratiques, ou ils ne sont rien. On dirait, à ente

4 e et de la Fin, qu’il s’agisse de notre existence personnelle ou du cours de l’histoire terrestre. Voici alors les chrétiens qui vi

5 . Elle provoque sans répit cette mise en question personnelle que signifie la coefficience en nous-mêmes de la thèse et de l’antith

6 s « médiation » et comportant par suite le risque personnel , le choix et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical, voilà qui

7 l’existence déborde les limites de l’incarnation personnelle . On songe ici tout de suite à la question sociale. On se souvient peu

8 ’un pour l’autre le prochain. Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’individu, mais dans un individu transformé, orie

9 un je et d’un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel , ni d’aucune réalité humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître a

10 et la nature, mais transposée dans le déchirement personnel . Lutte stérile, et dont l’absurdité tragique évoque ce combat d’aveug

11 n me répond que cette formule lui est tout à fait personnelle , et l’on m’oppose une thèse thomiste ; laquelle est, à son tour, cont

12 les conciles, est bien forcé de parler un langage personnel , dont il sera toujours possible d’affirmer qu’il n’est pas littéralem