1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 e recours à l’indicible et la fuite devant le moi personnel . Se réfugier dans l’indicible, c’est entretenir une équivoque dont il
2 ù naissait leur désir angoissé de perdre leur moi personnel . Je préciserai ici le sens que je donne au mot de personne, pour évit
3 ne foi qui veut témoigner par la Parole et l’acte personnel . 6. En effet, pour les romantiques, « le sommeil est une préfigura
2 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
4 rdres. Elle créerait un champ libre aux problèmes personnels , aux risques permanents de la personne, à ses échecs dans la névrose
5 ent liés dans notre histoire et dans notre action personnelle . Alors la vocation vient remplacer le rôle. Qu’elle fasse défaut, et
6 ont en fait ressenties comme traduisant sa colère personnelle contre l’opposition. En dépit de ces défauts, que les Indiens lui rec
7 libérateur, mais non moins à sa grande séduction personnelle . Tout le monde parle de sa beauté. Et il est vrai que son visage et s
3 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
8 s son attitude un exemple miraculeux de sacrifice personnel et une manifestation presque surhumaine de contrôle de soi22 ». Tout
9 e ce qu’il peut représenter pour le développement personnel de chacun des conjoints et pour leur intégration en tant que couple d
10 transcendant du dogme, l’autre à l’appropriation personnelle de réalités animiques, collectives (qu’on lui reproche de mal définir