1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 avaient le gage, par la foi, qu’une Volonté toute personnelle et « lumineuse » se substituerait à la leur. Ce n’était pas le dieu s
2 nt par des circonstances passagères, ou des goûts personnels de l’auteur. 2. Voir Appendice 1. 3. Appendice 2. 4. Ce serait ic
2 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
3 és, aux lois de la raison humaine et de l’intérêt personnel . Illusion si l’on veut, mais sans laquelle nulle civilisation et null
4 éclare la guerre sous des prétextes juridiques et personnels , où l’honneur national n’a rien à voir. Querelles de gendre et de bea
5 culture ; elles détendent ses ressorts intimes et personnels . L’amour, dans l’après-guerre, fut un curieux mélange d’intellectual
6 ntérieur et à la base, on stérilise les problèmes personnels , à l’extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accroît de jour
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
7 type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel , et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’État. Double
8 occidentale, et le fondement solide de toute vie personnelle  ; selon le second, l’union monogamique serait la forme la plus ration
4 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
9 s qu’il a risquées. C’est donc un parti pris tout personnel que je vais tenter de définir maintenant, et après coup, tel que je l
10 mier thème peut être situé par rapport à un drame personnel dont les données biographiques nous sont suffisamment connues. On sai