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rcés, écrit Calvin, de ne pas mettre nos opinions
personnelles
à la place de l’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu
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ion de ces diversités, multiplicité des vocations
personnelles
: tout cela, Calvin l’a voulu dans un plan strictement ecclésiastique
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doctrine calvinienne de l’Église et des vocations
personnelles
? Je n’hésite pas à le dire : c’est le fédéralisme. Cette thèse pourr
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ler est dans un camp de concentration, prisonnier
personnel
du Führer, ce n’est point parce qu’on lui reproche son énergie ou ses
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ne qui ne s’accommode plus du tout de sa vocation
personnelle
. Voici donc le dilemme où nous placent la culture actuelle et le mond
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ités objectives qui rendraient vaine toute action
personnelle
. Il n’y a de loi, répétons-le, que là où l’homme renonce à se manifes
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uisent en fait qu’un immense affaissement du sens
personnel
dans les parties de l’humanité contemporaine exténuées par la misère.
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mple, est à la fois la condition d’une entreprise
personnelle
, et la juste contrepartie des risques qu’on y court, du travail qu’on
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es. Certes, nous avons peu ou point de polémiques
personnelles
: mais c’est peut-être moins par tolérance réelle que par prudence. L
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re indépendance nationale, c’est encore notre foi
personnelle
. Car c’est elle qui reste la source de notre amour de la vraie libert
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je m’y retrouve avec aisance. C’est là mon ordre
personnel
, mon « arrangement » fédéraliste, conforme au sens et aux qualités pr
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n Suisse, les esprits les plus libres et les plus
personnels
sont ceux qui se rattachent : sentimentalement à une région ; légalem
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un organisme fédéral. Or il existe en Suisse un «
personnel
» plus apte qu’aucun autre à préparer les bases de la fédération euro
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arer les bases de la fédération européenne. (Un «
personnel
» : il faut sauver ce mot de sa déchéance bureaucratique. Normalement