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ien et des routines bourgeoises, excluant le Dieu
personnel
, nous accuse et nous prive en même temps de tout recours à Celui qui
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our nous faire croire qu’il n’a point d’existence
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, qu’il n’est en somme qu’une figuration mythologique du mal : ce sera
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mp des vertuistes : « Pourquoi parler d’un diable
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? Nous voyons bien le péché, mais pas le diable. Ne peut-on pas en fa
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otalitaires, c’est-à-dire : la présence active et
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du démon dans nos passions ; dans notre besoin de sensation ; dans no
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ons de masse. Partout où un individu prend sa vie
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en dégoût, l’hitlérisme trouve un candidat. Certes, il n’y aurait pas
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Nous sommes bien trop intéressés à nier le péché
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pour que j’accorde à l’hypothèse matérialiste le droit de se dire obj
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soit pas de nous… 45. L’exorcisme, ou l’ordre
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Le diable et sa colonne d’anges noirs « qui n’ont pas conservé leu
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t premier de l’ordre impérissable. Or cet élément
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doit s’encadrer dans un ordre cosmique, et se réaliser dans un ordre
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igurant la condition de possibilité de tout ordre
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, le second sa condition de fécondité. 46. L’ordre cosmique Le d