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oilà précisément ce qu’on peut appeler le style «
personnel
» d’un auteur, ou d’ailleurs de n’importe quel homme responsable de s
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, d’un Kierkegaard, ou d’un Luther, les données «
personnelles
» dont la mise en tension a pu produire les formes qu’on y observe. C
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de leurs conclusions que par celle de leur drame
personnel
, rendu sensible par les tours et par l’allure de leur pensée. Seuls,
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e compte, il s’agit de le subordonner au problème
personnel
de ces vies, à leur équation d’existence. Or c’est, chez l’un comme c
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qui nous poussent à réaliser en action notre loi
personnelle
. Sagesse, pourrait-on dire, médiatrice. Sagesse qui jamais ne mutile
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un universel d’autre part. Il n’y a de valeur que
personnelle
et originale, c’est-à-dire à l’état premier, incommunicable. L’exalta
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s singuliers et intimes qui instituent la tension
personnelle
. Mais alors, comment l’homme qui se découvre multitude et plèbe pourr
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end une mesure et un rythme en le liant au destin
personnel
. Ainsi l’acte absolu serait création absolue, mais un acte de l’homme
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réelle, sinon l’extension dans l’espace d’une loi
personnelle
, de la loi du propriétaire ? (Toute autre forme de propriété demeure
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e recours à l’indicible et la fuite devant le moi
personnel
. Se réfugier dans l’indicible, c’est entretenir une équivoque dont il
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ù naissait leur désir angoissé de perdre leur moi
personnel
. Mais le moi personnel est l’Ombre créatrice de l’individu naturel. R
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ngoissé de perdre leur moi personnel. Mais le moi
personnel
est l’Ombre créatrice de l’individu naturel. Revenons une dernière fo
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ne foi qui veut témoigner par la Parole et l’acte
personnel
. 85. Dans un beau livre sur L’Âme romantique et le rêve, dont j’ex