1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 te, il sera vidé sans autres formes qu’une lettre personnelle du président, qu’il pourra lire le jour même dans le journal : « Mon
2 Finances que de ronds-de-cuir de père en fils. Le personnel des bureaux gouvernementaux est sans cesse ventilé et renouvelé, au p
3 de la routine inefficace et le Scylla du pouvoir personnel , ils choisissent le naufrage commun dans le Détroit des délais ou la
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 craignent la discussion violente, la dénonciation personnelle ou le scandale. Quand ils s’y lancent, ils n’y vont pas de main morte
5 vulgarisation. Ce qui suppose un état-major et un personnel gigantesques, spécialisés à l’infini ; des pages de publicité aussi c
6 luxe ; elle doit tenir compte de tant d’exigences personnelles des stars, collectives et supposées du public, tatillonnes et insanes
7 s fondées sur le pittoresque, l’esprit, le succès personnel ou la rareté. L’écrivain aux États-Unis vit dans une sorte de vide so
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 aéronavale de San Diego, Californie, tant pour le personnel de la Marine que pour les civils. Le capitaine Leslie E. Gehres, comm
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 u de repères. Ce qu’il tenait pour sa valeur bien personnelle ne trouve pas court ici, n’est donc qu’un handicap. Il se voit plongé