1
tes n’arrivent plus à réveiller l’imagination des
peuples
. On le sait à Genève : tout est affaire de mots. Il n’y a pas de « gu
2
les rangs de ceux que les rédacteurs de l’Ami du
Peuple
appellent des révolutionnaires en peau de lapin, comme si cela, noton
3
andons ce que peut bien signifier l’opposition du
peuple
et de la nation ? Par quel grossier abus du mot nation a-t-on pu veni
4
e leurs troupes. Nous nous battrons le jour où le
peuple
français aura compris que l’adversaire unique est le capitalisme cent
5
ès les premiers abords. Des considérations sur le
peuple
, le bourgeois et la noblesse : cela est neuf et vrai, bien vu et bien