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ions, gardienne de la doctrine commune à tous les
peuples
, elle n’a pas d’autre rôle ni d’autre vocation. Elle n’est pas elle-m
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incue de l’avenir que nous incarnons aux yeux des
peuples
d’Occident. Notre seul espoir, à nous Suisses, c’est de rester et de
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n longtemps au besoin de croire de la majorité du
peuple
. Nous voulions croire à la mission du peuple allemand. Nous voulions
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é du peuple. Nous voulions croire à la mission du
peuple
allemand. Nous voulions croire à l’immortalité du peuple et peut-être
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allemand. Nous voulions croire à l’immortalité du
peuple
et peut-être réussirons-nous à y croire. » Voilà qui dit bien où est
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a journée où j’ai vu Hitler en communion avec son
peuple
, je n’ai ajouté que ceci en conclusion : « Chrétiens, retournez aux c
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homme simple et bon, quoique énergique, sorti du
peuple
, assoiffé de justice, restaurateur de la puissance allemande, et redr
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vait cela, tout changerait ! » C’est ainsi que le
peuple
parlait du Roi avant la révolution de 1789. Au panégyrique et à la ca
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’aurait sans doute pas réussi à fanatiser tout un
peuple
. Une certaine forme de bêtise convaincue est seule capable de s’impos
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ui a su pressentir l’inconsciente angoisse de son
peuple
, et incarner à ses yeux un symbole d’espérance, de vengeance et de fo
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reux faits viennent à l’appui de cette thèse. Les
peuples
connus pour être des peuples guerriers sont aussi les peuples qui aim
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de cette thèse. Les peuples connus pour être des
peuples
guerriers sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les peuples les
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us pour être des peuples guerriers sont aussi les
peuples
qui aiment l’amour. Les peuples les plus guerriers sont l’Espagne et
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rs sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les
peuples
les plus guerriers sont l’Espagne et la France ; l’Allemagne ne vient
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de cet après-midi du mercredi 28 septembre où les
peuples
prêtaient l’oreille guettant le tocsin de la guerre. C’est alors qu’é
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ffre, la même minute où, retenant son souffle, le
peuple
attend les cloches fatidiques : et d’un coup le même « Alléluia ! » p
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le répète. Joignons alors notre prière à celle du
peuple
suisse, invoquant du fond des vallées l’intervention de Nicolas : Pa
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vallées l’intervention de Nicolas : Parmi nous,
peuple
, parmi nous — parmi la foule en lourd tumulte avant le jour — aveugle
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ous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains,
peuple
, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfares Vous tous, au
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ir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un
peuple
dépendent de sa grandeur physique, de sa mise au pas militaire, de so
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tatique. Nous sommes ici à patauger parce que les
peuples
autour de nous font la guerre, et s’ils la font, c’est parce qu’ils n
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urckhardt, ne se connaissait plus que comme race,
peuple
, parti, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et col
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ts, dit le pasteur, de servir la Seigneurie et le
peuple
de telle manière que par cela je ne sois nullement empêché de rendre
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er, c’est que la doctrine réformée prédispose les
peuples
protestants à comprendre et à soutenir les régimes fédéralistes. L’ho
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e, ou pas faite du tout. Il en résultait, dans le
peuple
, le sentiment que l’État et l’Église formaient un tout et constituaie
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’ont plus d’héroïsme civique. Militarisation d’un
peuple
! C’est le contraire, le mot l’indique, d’une véritable civilisation.
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sentimental — comme privilèges de droit divin du
peuple
suisse — soit d’un point de vue purement utilitaire ou touristique. C
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t pu confondre avec l’esprit même de la Suisse, «
peuple
d’instituteurs et d’hôteliers », comme chacun sait… Qu’on y prenne ga
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la plus misérable… Eh bien, je ne dis pas que le
peuple
suisse représente dans son ensemble « la posture la plus misérable de
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dans les champs neigeux ; et derrière l’armée, un
peuple
entier qui guette, et qui travaille lui aussi jour et nuit, dans les
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s rapidement que les privilèges politiques, si le
peuple
qui en jouit ne sait pas les mériter par ses manières d’être et de pe
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e moderne de s’être « distinguée » abusivement du
peuple
, d’avoir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au d
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’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un
peuple
ami. (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en
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sur son autel un peuple ami. (Il entendait : son
peuple
tchèque.) Historien futur ! — s’il en reste — tels étaient les propos
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le plan social, mais sur le plan des relations de
peuple
à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’agissait du
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ocial, mais sur le plan des relations de peuple à
peuple
. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’agissait du mieux viv
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celles de notre monde, de dire la vérité que les
peuples
en guerre n’ont plus le pouvoir de reconnaître, dans le fracas des ch
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nts, quand on ne sait même plus qui a été tué. Un
peuple
en guerre sauve son moral en se dopant, en forçant l’illusion ; un pe
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on moral en se dopant, en forçant l’illusion ; un
peuple
neutre, en avouant le réel. Avouer ses fautes est une libération dont
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sion — qui seule la rend indispensable aux autres
peuples
de l’Europe. Le chef-d’œuvre que représente notre démocratie fédérati
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gue… Les partis ne veulent rien entendre. Mais le
peuple
répond. Tant pis pour les politiciens. ah. « La Ligue du Gothard :
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our un. Nous sommes ici, mobilisés, parce que les
peuples
autour de nous se font la guerre ; et s’ils la font, c’est parce qu’i
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is émouvante, dans la vie quotidienne d’un de ces
peuples
, oui, dans sa vie apparemment banale. Depuis que j’ai lu Henri le Ver
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ient à s’épanouir dans l’amitié commune, alors un
peuple
atteint ce qu’il y a de plus haut. ac. « Henri le Vert ou l’âme al