1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 ions, gardienne de la doctrine commune à tous les peuples , elle n’a pas d’autre rôle ni d’autre vocation. Elle n’est pas elle-m
2 incue de l’avenir que nous incarnons aux yeux des peuples d’Occident. Notre seul espoir, à nous Suisses, c’est de rester et de
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
3 n longtemps au besoin de croire de la majorité du peuple . Nous voulions croire à la mission du peuple allemand. Nous voulions
4 é du peuple. Nous voulions croire à la mission du peuple allemand. Nous voulions croire à l’immortalité du peuple et peut-être
5 allemand. Nous voulions croire à l’immortalité du peuple et peut-être réussirons-nous à y croire. » Voilà qui dit bien où est
6 a journée où j’ai vu Hitler en communion avec son peuple , je n’ai ajouté que ceci en conclusion : « Chrétiens, retournez aux c
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
7 homme simple et bon, quoique énergique, sorti du peuple , assoiffé de justice, restaurateur de la puissance allemande, et redr
8 vait cela, tout changerait ! » C’est ainsi que le peuple parlait du Roi avant la révolution de 1789. Au panégyrique et à la ca
9 ’aurait sans doute pas réussi à fanatiser tout un peuple . Une certaine forme de bêtise convaincue est seule capable de s’impos
10 ui a su pressentir l’inconsciente angoisse de son peuple , et incarner à ses yeux un symbole d’espérance, de vengeance et de fo
4 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
11 reux faits viennent à l’appui de cette thèse. Les peuples connus pour être des peuples guerriers sont aussi les peuples qui aim
12 de cette thèse. Les peuples connus pour être des peuples guerriers sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les peuples les
13 us pour être des peuples guerriers sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les peuples les plus guerriers sont l’Espagne et
14 rs sont aussi les peuples qui aiment l’amour. Les peuples les plus guerriers sont l’Espagne et la France ; l’Allemagne ne vient
5 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
15 de cet après-midi du mercredi 28 septembre où les peuples prêtaient l’oreille guettant le tocsin de la guerre. C’est alors qu’é
16 ffre, la même minute où, retenant son souffle, le peuple attend les cloches fatidiques : et d’un coup le même « Alléluia ! » p
6 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
17 le répète. Joignons alors notre prière à celle du peuple suisse, invoquant du fond des vallées l’intervention de Nicolas : Pa
18 vallées l’intervention de Nicolas : Parmi nous, peuple , parmi nous — parmi la foule en lourd tumulte avant le jour — aveugle
19 ous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains, peuple , pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfares Vous tous, au
7 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
20 ir s’imaginer ! — que le bonheur et la force d’un peuple dépendent de sa grandeur physique, de sa mise au pas militaire, de so
21 tatique. Nous sommes ici à patauger parce que les peuples autour de nous font la guerre, et s’ils la font, c’est parce qu’ils n
8 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
22 urckhardt, ne se connaissait plus que comme race, peuple , parti, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et col
23 ts, dit le pasteur, de servir la Seigneurie et le peuple de telle manière que par cela je ne sois nullement empêché de rendre
24 er, c’est que la doctrine réformée prédispose les peuples protestants à comprendre et à soutenir les régimes fédéralistes. L’ho
25 e, ou pas faite du tout. Il en résultait, dans le peuple , le sentiment que l’État et l’Église formaient un tout et constituaie
26 ’ont plus d’héroïsme civique. Militarisation d’un peuple  ! C’est le contraire, le mot l’indique, d’une véritable civilisation.
9 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
27 sentimental — comme privilèges de droit divin du peuple suisse — soit d’un point de vue purement utilitaire ou touristique. C
28 t pu confondre avec l’esprit même de la Suisse, «  peuple d’instituteurs et d’hôteliers », comme chacun sait… Qu’on y prenne ga
29 la plus misérable… Eh bien, je ne dis pas que le peuple suisse représente dans son ensemble « la posture la plus misérable de
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
30 dans les champs neigeux ; et derrière l’armée, un peuple entier qui guette, et qui travaille lui aussi jour et nuit, dans les
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
31 s rapidement que les privilèges politiques, si le peuple qui en jouit ne sait pas les mériter par ses manières d’être et de pe
12 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
32 e moderne de s’être « distinguée » abusivement du peuple , d’avoir ainsi perdu sa sève active et livré les masses affamées au d
33 ’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en
34 sur son autel un peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.) Historien futur ! — s’il en reste — tels étaient les propos
13 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
35 le plan social, mais sur le plan des relations de peuple à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’agissait du
36 ocial, mais sur le plan des relations de peuple à peuple . Tout ce que nous jugions impossible quand il s’agissait du mieux viv
37 celles de notre monde, de dire la vérité que les peuples en guerre n’ont plus le pouvoir de reconnaître, dans le fracas des ch
38 nts, quand on ne sait même plus qui a été tué. Un peuple en guerre sauve son moral en se dopant, en forçant l’illusion ; un pe
39 on moral en se dopant, en forçant l’illusion ; un peuple neutre, en avouant le réel. Avouer ses fautes est une libération dont
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
40 sion — qui seule la rend indispensable aux autres peuples de l’Europe. Le chef-d’œuvre que représente notre démocratie fédérati
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
41 gue… Les partis ne veulent rien entendre. Mais le peuple répond. Tant pis pour les politiciens. ah. « La Ligue du Gothard :
16 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
42 our un. Nous sommes ici, mobilisés, parce que les peuples autour de nous se font la guerre ; et s’ils la font, c’est parce qu’i
17 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
43 is émouvante, dans la vie quotidienne d’un de ces peuples , oui, dans sa vie apparemment banale. Depuis que j’ai lu Henri le Ver
44 ient à s’épanouir dans l’amitié commune, alors un peuple atteint ce qu’il y a de plus haut. ac. « Henri le Vert ou l’âme al