1 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
1 ce xxe siècle. C’est que nous sommes devenus un peuple de bourgeois. L’ère de la bourgeoisie, ère du « confort moderne » et
2 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
2 t entre les hommes et le sol, entre l’armée et le peuple , entre le présent et les traditions historiques, s’est vu raffermi pa
3 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
3 n. Et ce qu’ils donnent fait toute la renommée du peuple . (Aujourd’hui c’est l’inverse qu’on observe ; c’est ce que donne la f
4 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
4 Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)j Autrefois et naguère enc
5 es vedettes. Mais où était dans tout cela le vrai peuple de la vraie France ? Ce peuple naguère invisible, c’est le malheur le
6 tout cela le vrai peuple de la vraie France ? Ce peuple naguère invisible, c’est le malheur le plus affreux de son Histoire q
7 ance à l’intérieur du pays occupé nous parlent du peuple de France ; les récits et les témoignages qui ont été publiés secrète
8 et qui parviennent sous nos yeux nous parlent du peuple de France ; et les films composés à Hollywood ou à Londres sur l’orga
9 is ou en province, ne nous montrent encore que le peuple de France, pour la première fois. Le peuple anonyme, le peuple unanim
10 ue le peuple de France, pour la première fois. Le peuple anonyme, le peuple unanime, le peuple sans vedettes et le voici enfin
11 nce, pour la première fois. Le peuple anonyme, le peuple unanime, le peuple sans vedettes et le voici enfin devenu la vraie ve
12 re fois. Le peuple anonyme, le peuple unanime, le peuple sans vedettes et le voici enfin devenu la vraie vedette, malgré lui,
13 our ma part qu’ils nous présentent enfin le petit peuple français comme le grand héros de la France. Soudain, l’étranger s’ape
14 souvent par la faute des élites parisiennes : le peuple de France est grave, ou plus exactement il est sérieux. Il n’est pas
15 d et d’abord, il est sérieux, plus qu’aucun autre peuple dont j’aie vécu la vie. Seulement, il est sérieux sans pose, avec pud
16 tout dire, le naturel de l’héroïsme populaire. Ce peuple en noir au regard vif s’est révélé face au danger. Il manquait d’arme
17  : le regard sérieux de l’homme et de la femme du peuple , ce jugement précis et humain, bien plus insupportable que tous les c
18 Allemands, on ne leur avait jamais parlé du vrai peuple de la vraie France. Ils ont continué à le piller et à le fusiller ave
19 Depuis qu’ils ont rencontré ce regard… j. « Un peuple se révèle dans le malheur », Fontaine, Alger, n° 33, février 1944, p.
5 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
20 evient pour nous l’équivalent de la fête chez les peuples anciens, elle en possède les attributs les plus aisément reconnaissab
21 sarmement général, total et définitif de tous les peuples , appuyé par une interdiction absolue de fabriquer des armes et d’ense
22 e de la religion. 3. Il faut une religion pour le peuple . Entendons : pour qu’un peuple subsiste. Toute la sociologie moderne
23 e religion pour le peuple. Entendons : pour qu’un peuple subsiste. Toute la sociologie moderne le prouve. À son défaut, Hitler
6 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
24 auraient transmis à l’Europe. Mais on sait que le peuple tzigane ne vint en Europe qu’en 1417 sous la conduite du « Duc d’Égyp
7 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
25 mée de délégués des États, l’autre de députés des peuples . (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que
26 nutile même de la nommer.) Il est évident que les peuples se révolteront contre cette nation et son régime, tôt ou tard. Il est
8 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
27 jeu de société mondiale qu’est la comparaison des peuples deux à deux. Jeu plus sérieux d’ailleurs qu’il n’y paraît. Car l’une
9 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
28 n ne s’entend vraiment bien qu’entre gens du même peuple . 17 septembre 1940 Chaque soir, les passagers se pressent devant la p
29 ne serons jamais battus, parce que nous sommes un peuple qui ne sait pas quand il est battu. » J’ai pensé aux chefs français t
30 e luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de mâts. Au sommet d’une falaise qui fuit obliquement éclate une long