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t de vue des hommes qui l’habitent, et des autres
peuples
du monde, l’Europe reste aujourd’hui, même privée de sa puissance, le
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qui dépasse. Mais c’est la vitalité civique d’un
peuple
qu’on écrase ainsi. Une politique fédéraliste, telle qu’on vient de l
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s, d’ingéniosité technique et de compréhension du
peuple
qu’elle gouverne. C’est pourquoi je disais plus haut qu’elle représen
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généralisée, pour toutes les classes et tous les
peuples
est cependant freinée par diverses passions que notre effort techniqu
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premiers enthousiastes de la Planète unie par les
peuples
unis — et j’en étais — un certain rideau de fer est tombé, brutalemen
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s ; sortez avec un ours en laisse pour ameuter le
peuple
sur les places. Faites des gestes ! Déchirez votre passeport ! et nou
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avait inventé les armes et les lois, et tous les
peuples
subissaient l’attrait de ses techniques, de ses pouvoirs sur la matiè
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n élan profond, par un espoir nouveau de tous nos
peuples
. Cet élan de l’opinion, et cet espoir des masses, ce n’est pas une pr
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de demain. Faire en sorte que la culture aide nos
peuples
à s’unir, afin qu’ensuite une Europe fédérée vienne en aide à chacune
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n élan profond, par un espoir nouveau de tous nos
peuples
. Cet élan de l’opinion et cet espoir des masses, ce n’est pas une pro
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les divers pays d’Europe en faveur de l’union des
peuples
et d’une éducation de « cadres européens ». Des dizaines d’instituts
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ille aussi le sentiment d’un destin commun de nos
peuples
. Enfin, l’indifférence écœurée, l’abandon aux fatalités de l’histoire
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le meilleur moyen de ramener vers l’Occident les
peuples
séparés, c’est de leur offrir l’image d’une Europe rénovée par l’unio
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éricain. Ils sont classiques. Les continents, les
peuples
et leurs rites, les éléments, la quête et la conquête, les énumératio
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ute façon, de « pans de siècles en voyage » et de
peuples
lus « par nations » ; d’une âme sans nom — l’inconscient d’une époque
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ation de nos « voies et façons » et « chants d’un
peuple
, le plus ivre », — il semblera surprenant qu’un Français ait ouvert a
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e la vertu en général, ou même contre l’union des
peuples
de l’Europe. Nous sommes tous de bonne volonté… Mais certains souhait