1
.) Admettons que le régime des castes, imposé aux
peuples
de l’Inde par les conquérants aryens, ait son origine en Europe, où P
2
l d’un sentiment trop faible encore dans tous nos
peuples
: celui d’appartenir à un ensemble humain plus vaste, plus ancien, et
3
eule et même exigence d’une union fédérale de nos
peuples
. 14. Emmanuel Berl, « Hors du réel », La Table ronde, janvier 1957.
4
l est le drame. Il intéresse l’avenir de tous les
peuples
de la Terre. Si l’on cherche à se figurer l’aire de diffusion de la c
5
ifier, en fin de compte, l’occidentalisation d’un
peuple
, d’un État ou d’un individu. Ici, l’on se contente d’importer nos mac
6
ire ; et que cette culture est commune à tous les
peuples
de l’Europe, puisque leurs nations mêmes en sont nées, non l’inverse.
7
iant les forces vives de la culture dans tous nos
peuples
, et en leur offrant : un lieu de rencontre, des instruments de coordi
8
écisément la communauté de traditions de tous nos
peuples
. Le Rhin serait une frontière naturelle, mais le Danube et le Rhône d
9
ulu « réunir comme en un seul grand vase tous les
peuples
du monde entier » et d’avoir « ordonné que tous considèrent la Terre
10
on semblable lorsque nous constatons que tous les
peuples
d’une planète entièrement inventoriée adoptent aujourd’hui nos scienc
11
tte contagion occidentale accélérée dans tous les
peuples
de Bandung. Désormais délivré de notre impérialisme qui avait su resp
12
ourd’hui pour Bandung, à peine moins que pour les
peuples
de l’OTAN, la dignité de la personne humaine et les fondements de tou
13
oisins, que les Hohenstaufen donnèrent aux petits
peuples
des Waldstätten, déjà organisés en coopératives forestières, l’immédi
14
» échoua contre la résistance presque unanime des
peuples
et des patriciats dépossédés. Dès 1802, Napoléon écrivait aux délégué
15
délégués d’États souverains et non de députés des
peuples
: « Lequel de nous n’a dû souvent déplorer la forme actuelle des déli
16
antons, le Parlement se prononça d’abord, puis le
peuple
. Les votes populaires eurent lieu pendant le mois d’août. Le 4 septem
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compose de deux chambres dont l’une représente le
peuple
, l’autre les États. L’exécutif collégial, élu par ces chambres réunie
18
mis qui tient en trois articles : Article 1. Les
peuples
des vingt-deux cantons souverains de la Suisse, unis par la présente
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3, leur constitution, la liberté et les droits du
peuple
(etc.). Si l’on ajoute que la Constitution assure les libertés d’étab
20
a Diète, à sa ratification par les cantons et les
peuples
, et à sa mise en vigueur effective, paraît d’autant plus remarquable
21
e 1848, la Constitution fédérale fut présentée au
peuple
comme un compromis, non point comme le gage du triomphe des radicaux.
22
’Europe (mars 1960)m Le nationalisme, dans les
peuples
du tiers-monde, n’est guère qu’une revendication d’indépendance, proc
23
e de crise guerrière ou révolutionnaire : — Notre
peuple
se distingue entre tous par une mission historique d’une portée unive
24
puisque l’État incarne la mission universelle du
peuple
ou Bien suprême ; Dieu lui-même, s’il existe, ne peut être que notre
25
e fait vers la paix, l’humanité et le bonheur des
peuples
. Déjà, le Patriote français avait publié le 15 décembre 1791, cet ap
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dans toute l’Europe. Les réactions de défense des
peuples
« libérés » prendront la même forme que l’agression : une mobilisatio
27
tat commercial fermé 28, qui parut en 1800. Les
peuples
du monde antique étaient séparés les uns des autres d’une manière trè
28
u un barbare. On peut au contraire considérer les
peuples
de la nouvelle Europe chrétienne comme formant une seule nation. Unis
29
tion. Le seul lien qui devra subsister entre les
peuples
sera celui de la Science : … Grâce à elle, mais à elle seule, les ho
30
ivent, quand pour tout le reste, leur division en
peuples
divers sera achevée. Elle seule demeure leur propriété commune, après
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éralisé, et la paix perpétuelle établie parmi les
peuples
, aucun État sur terre n’aura le moindre intérêt à ne pas communiquer
32
dée que « les Européens chrétiens forment un seul
peuple
reconnaissant l’Europe pour leur patrie commune, et d’un bout à l’aut
33
s internes créées par la volonté d’uniformiser le
peuple
, et des tensions externes créées par l’idéal missionnaire qui amène l
34
tion à régner au nom de tous contre une partie du
peuple
. Mais l’État-nation exige davantage que l’obéissance passive des oppo
35
uerre), puis fatalement décline et meurt. Chaque
peuple
mûrit un fruit ; son activité consiste à accomplir son principe, non
36
le monde. Et encore : À chaque époque domine le
peuple
qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. Voilà donc les peuples
37
le plus haut concept de l’Esprit. Voilà donc les
peuples
élevés à la dignité d’intentions particulières de l’esprit mondial, m
38
u système d’évolution globale vers l’harmonie des
peuples
libérés a-t-il été brutalement démenti au terme même du processus de
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dangereuse de l’évolution historique : Tous les
peuples
de l’Europe et du monde devront traverser cette agonie, pour que la v
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ires. Et malheur à l’Europe si elle abandonne ces
peuples
! Voici deux textes brefs comme deux cris, échappés au chef de la rév
41
e Et qui n’a pas conquis sa liberté ! Lâches, les
peuples
t’ont abandonné Ô Magyar ! Toi seul continues à combattre… Liberté, q
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abaisse sur nous, Reconnais-nous ! Reconnais ton
peuple
! Alors que d’autres n’osent même pas verser des larmes Nous les Magy
43
nts légitimes de croissance et de nationalité des
peuples
». Cependant, elle n’entend pas : incendier le monde, mais briller d
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monde, mais briller de sa place sur l’horizon des
peuples
pour les devancer et les guider à la fois… La raison, rayonnant de pa
45
nt regarder la vérité… Ils savent qu’il existe un
peuple
de réconciliation… une nation ouverte, qui appelle chez elle quiconqu
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iguration. La France deviendra l’Europe. Certains
peuples
finissent par la sublimation comme Hercule ou par l’ascension comme J
47
Révolution de France s’appellera l’évolution des
peuples
. Pourquoi ? Parce que la France le mérite ; parce qu’elle manque d’ég
48
s la forme épurée d’une mission européenne de son
peuple
. Nous connaissons maintenant le processus, illustré par toutes les gr
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qu’il existe à cette fin un centre déterminé, un
peuple
qui domine les autres de sa supériorité politique et culturelle… Se
50
guistiques, une souveraineté analogue à celle des
peuples
réellement existants. (Or) le fait de la race, capital à l’origine, v
51
des nationalités a mises et met encore entre les
peuples
de l’Europe, grâce aux politiciens à la vue courte et aux mains promp
52
, je vois tout de suite la guerre qui surgit. Les
peuples
de l’Europe ne peuvent s’unir que dans une seule idée : se faire la g
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mée sans scrupules (« Le Droit est ce qui sert le
peuple
allemand », proclame Hitler), pour que les dernières conséquences de
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de la souveraineté absolue éclatent aux yeux des
peuples
et de leurs hommes d’État, dans les pays au moins qui auront subi, à
55
ens précis, pour les meneurs nationalistes de ces
peuples
, c’est un sens emprunté à l’Europe, même et surtout s’il justifie un
56
un degré littéralement incomparable. Certes, les
peuples
du Proche-Orient avaient créé l’astronomie, les Hindous avaient inven
57
découvert la Terre entière, alors qu’aucun autre
peuple
ne songeait à venir les découvrir. Ce sont eux qui ont ainsi permis à
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un degré littéralement incomparable. Certes, les
peuples
du Proche-Orient avaient créé l’astronomie, les Hindous avaient inven
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découvert la Terre entière, alors qu’aucun autre
peuple
ne songeait à venir les découvrir. Ce sont eux qui ont ainsi permis à
60
a société, et des techniques, que tous les autres
peuples
de la Terre ont adoptées ou s’efforcent d’imiter. Les Européens ont r
61
s, et ne pleurera pas solitaire sur la cendre des
peuples
et la mémoire de leur grandeur ? Une trentaine d’années plus tard, H
62
s plus tard, Hegel introduisait l’idée que chaque
peuple
est « un individu dans la marche de l’Histoire » et qu’il obéit donc,
63
éfinitif. Au surplus, les nouveaux empires et les
peuples
émancipés proclament déjà leur volonté de retourner contre nous nos p
64
sens précis pour les meneurs nationalistes de ces
peuples
, c’est un sens emprunté à l’Europe, même et surtout s’il justifie un
65
un degré littéralement incomparable. Certes, les
peuples
du Proche-Orient avaient créé l’astronomie, les Hindous avaient inven
66
découvert la Terre entière, alors qu’aucun autre
peuple
ne songeait à venir les découvrir. Ce sont eux qui ont ainsi permis à
67
uvoir sinon satisfaire, du moins séduire tous les
peuples
du monde. Nous avons aussi vu qu’elle exporte ses produits sans les v
68
la civilisation diffusée par l’Europe à tous les
peuples
puisse s’éclipser ou disparaître, sans entraîner le genre humain dans
69
’Homme, qui définissent aujourd’hui pour tous les
peuples
de Bandung, à peine moins que pour les peuples de l’OTAN, la dignité
70
es peuples de Bandung, à peine moins que pour les
peuples
de l’OTAN, la dignité de la personne humaine et les fondements de tou
71
aussi ce qui nous mine à l’intérieur. Ce que les
peuples
d’outre-mer nous opposent, c’est ce que nous opposons nous-mêmes à no
72
ans l’esprit des Européens comme dans l’esprit de
peuples
neufs, empêchant au-dedans cette union fédérale qui ferait notre forc
73
! — nous commandent impérieusement de réunir nos
peuples
et de mettre en pool leurs ressources, trop longtemps divisées entre
74
rgueil national, les méfiances traditionnelles de
peuple
à peuple, etc.) qui s’oppose à l’union nécessaire, admise et réclamée
75
tional, les méfiances traditionnelles de peuple à
peuple
, etc.) qui s’oppose à l’union nécessaire, admise et réclamée par tous
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ont cessé de préconiser une union fédérale de nos
peuples
, respectant leurs diversités. Aux premiers vous direz : votre Europe
77
rait sans nul doute plus conforme au génie de nos
peuples
divers, mais voilà six-cents ans qu’elle échoue dans tous ses efforts
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gie tout à fait extraordinaire qu’ont dégagée les
peuples
de ce continent, et qui leur a permis de dominer le monde, a sa sourc
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mature d’institutions s’impose tout de même à nos
peuples
passifs, si les forces de culture ne l’animent pas, une Europe techni
80
e de crises économiques, une arrogance accrue des
peuples
neufs détenant la majorité à l’ONU, des guerres « localisées » et fin
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molesté par les guerres et navré au milieu de son
peuple
par la malice des déloyaux « j’ai été assailli tellement qu’à grand-p
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t jaloux de ses droits et des intérêts de « son »
peuple
. Langage dénué de toute onction d’église, sous-tendu par la seule vol
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ise, sous-tendu par la seule volonté d’éduquer le
peuple
et les princes. Langage enfin d’un homme qui se sait écouté non seule
84
nd l’État outrepasse ses fonctions, a protégé les
peuples
calvinistes non seulement contre l’anarchie mais aussi contre ses ant