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iques ; et par des traditions communes à tous nos
peuples
, la grecque, la romaine, la chrétienne, bien antérieures aux découpag
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ais ce qu’on écrase ainsi, c’est la vitalité d’un
peuple
. Une politique fédéraliste soucieuse de se mouler sur la réalité, tou
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d’ingéniosité technique, et de compréhension des
peuples
qu’elle administre. Elle exige beaucoup plus de vrai sens politique.
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d’eux, par un exécutif et un législatif issus des
peuples
et des groupes de tout ordre qui animent la vie publique. Septième p
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fédération européenne déclare que l’union de ses
peuples
a pour fins, d’une part, d’assurer les libertés et les responsabilité
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isent « nous » en parlant de n’importe quel autre
peuple
. Ils apprennent à considérer les gloires et les hontes du passé de ch
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art, face au reste du monde et dans le monde, nos
peuples
peuvent enfin faire entendre la Voix de l’Europe (comme le demandait
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édéral. Voici les textes : Article premier. — Les
peuples
des vingt-deux cantons souverains de la Suisse, unis par la présente
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leurs constitutions, la liberté et les droits du
peuple
… (etc.) Ratifiés par la majorité du peuple et des cantons, ces articl
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its du peuple… (etc.) Ratifiés par la majorité du
peuple
et des cantons, ces articles ont résolu le problème à la satisfaction
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ion, par une armée, et par la volonté unanime des
peuples
et des États confédérés. Ce qui est bien loin d’être le cas des souve
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r liquidation a seule permis le rapprochement des
peuples
de l’Europe.) C’est pourquoi la fédération européenne a solennellemen
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d’un Sénat européen, la première représentant les
peuples
, le second, les États et les communautés dotées d’une autonomie recon
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élites, afin d’établir la compréhension entre les
peuples
. Existe-t-il actuellement de tels centres ? Nous nous sommes réunis à
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e de critère privilégié du niveau de culture d’un
peuple
, qu’elle fut au temps de l’Europe classique puis romantique. Les scie
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, et aux besoins traditionnels d’autonomie de nos
peuples
, besoins qui semblent contradictoires, mais qui sont là, incontestabl
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e calomnie propagée par les montagnards excita le
peuple
de Paris contre les girondins… Les dictionnaires anglais renvoient,
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nce de Churchill, — dont le discours appelant les
peuples
du continent à former « une sorte de lien fédéral » a été prononcé à
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ensemble pour le moins « réservées » et que notre
peuple
l’est peut-être plus encore, s’agissant de l’idée européenne. Le scep
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une politique d’unification qui vise à mêler les
peuples
d’Europe pour éliminer peu à peu les caractéristiques nationales et l
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on qui est aujourd’hui dans l’intérêt de tous les
peuples
de l’Europe. Si notre neutralité s’oppose à l’union, il faut en révis
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politique d’unification » de vouloir « mêler les
peuples
d’Europe ». Je rappelais tout à l’heure qu’il y a aujourd’hui plus de
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Si M. Homberger croit vraiment que le mélange des
peuples
est un danger majeur pour son pays, il n’a pas le droit d’en conclure
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ous le prétexte d’une « indépendance » dont notre
peuple
n’est pas disposé plus qu’un autre à payer le prix exorbitant. ⁂ Tels
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fort, et c’est peut-être mieux ainsi. Mais notre
peuple
comprend mal ce qui est en jeu. Je ne suis d’accord, pour ma part, ni
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ure de l’Europe à venir, cherchant l’union de ses
peuples
au bénéfice de leurs fécondes diversités. k. « Les arts dans la vie
27
e canon puis le fusil apparaissent les guerres de
peuple
à peuple, puis de nation à nation. Ce type d’armement s’accroît quant
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uis le fusil apparaissent les guerres de peuple à
peuple
, puis de nation à nation. Ce type d’armement s’accroît quantitativeme
29
ur repose bien moins sur une angoisse panique des
peuples
qui s’opposerait — on ne sait comment — à un conflit atomique, que su
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ion les divers continents et qui a révélé à leurs
peuples
l’existence d’autres civilisations, à certains égards plus développée
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C’est la technique qui a fait voir l’Occident aux
peuples
de l’Afrique, du monde arabe, de l’Inde et de l’Extrême-Orient. Au te
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’Extrême-Orient. Au temps de la colonisation, les
peuples
du tiers-monde ne connaissaient de nous que d’assez rares exemplaires
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l’histoire, et la psychologie d’une vingtaine de
peuples
n’ayant guère en commun que leur conviction d’occuper chacun une posi
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24. « Tout ce que nous faisons est au service du
peuple
, de quel défaut ne pourrions-nous donc nous débarrasser ? » « Si la m
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s-nous donc nous débarrasser ? » « Si la masse du
peuple
se lève tout entière pour enlever avec nous ces montagnes, comment ne
36
ue les maîtres du congrès retirèrent la parole au
peuple
européen, pour la donner à des ministres, qui en ont fait l’usage que
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e constituée par les « forces vives » de tous nos
peuples
, c’est-à-dire par le peuple européen. Nous sous-estimions la force de
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vives » de tous nos peuples, c’est-à-dire par le
peuple
européen. Nous sous-estimions la force de persistance (inertie, veste
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ests) des États-nations. Pour réussir l’Europe du
peuple
européen, il eût fallu : 1) lancer une campagne populaire de très gra
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r à préconiser cette tactique d’appel direct au «
peuple
européen » comme dira plus tard Altiero Spinelli. 38. J’en ai récupé
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— quand c’est un parti qui s’en empare au nom du
peuple
, comme ce fut le cas des jacobins et des « démocraties » plébiscitair
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toutes les places. « Il faut une religion pour le
peuple
» assure-t-on, et comme ce n’est plus guère le christianisme, ce sera
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pas. Dans cette Europe unie la représentation du
peuple
français sera assurée par l’État fédéral français. Parmi les plus gra
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ipal foyer de fidélité, particulièrement pour les
peuples
récemment émancipés et économiquement arriérés. (Z. Brzezinski)49 (
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té nationale, terme absolu de toute histoire d’un
peuple
digne de ce nom. Ayant « fait son unité » (comme on fait sa puberté),
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rgeant librement dans le ciel. Ils embrassent les
peuples
et ils les organisent, eux et leurs paysages, en très nombreux bassin
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ècle ? Celle des fédérations et de l’harmonie des
peuples
, ou celle d’une renaissance des particularismes nationaux ? Je répond
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se manifester. Si les dimensions sont celles d’un
peuple
de 50 millions, qu’est-ce qu’il se produit ? On vote, de temps en tem
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bon gré mal gré, seront entraînés la plupart des
peuples
civilisés, oubliant leur brillante mais trompeuse civilisation pour r
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verselle : les philosophes avaient prédit que les
peuples
, en se libérant, aboliraient le service militaire dû aux seigneurs. «
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changé en trois générations l’esprit de bien des
peuples
. « Si, en s’unissant, elle se mettait résolument à l’œuvre pour blâme
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n’est pas la vraie civilisation qu’on apporte aux
peuples
asservis : c’est l’opium, le rhum, et les armes, « ce qui ruine et ce
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physique… Cette civilisation, en fondant sur ces
peuples
, leur enlève souvent plus que des coutumes barbares, elle les dépouil
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lits qui se préparent, inévitables désormais, les
peuples
dits civilisés seront entrainés bon gré mal gré (d’où guerres mondial