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tent une réponse au grand appel qui monte de leur
peuple
vers une communauté nouvelle. Cette réponse est mauvaise, voire atroc
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ui rend justice aux caractères spécifiques de nos
peuples
et, plus encore, aux vocations personnelles. Un autre mot-clé de notr
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e que la colonisation est pire que tout. Quand un
peuple
se met à rendre les rênes à un autre pour son sort quotidien, pour ce
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lors il est perdu. C’est la décadence totale d’un
peuple
; c’est ce que l’on a vu dans tous les pays colonisés. Donc les raiso
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ans l’histoire qu’on ne le pense : c’est celle du
peuple
juif devant ses grands prophètes !) Pour tout dire d’un mot : entre l
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fecte l’Occident tout entier, et par lui tous les
peuples
de la terre qui copient notre civilisation industrielle, scientifico-
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r la seule méthode capable, selon moi, d’unir nos
peuples
et de sauver nos libertés. C’est à cause de cela, finalement, que je
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qui est capital, en dépit de ce que pense un vain
peuple
d’intellectuels parisiens, voici l’état du groupe ON en 1933 : Rops e
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es de colonisation qui pèsent aujourd’hui sur nos
peuples
, à l’Ouest comme à l’Est. Mais on peut aussi partir d’une conception
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malheur ! Mais à trop bien cacher le secret d’un
peuple
, on expose le peuple à oublier le secret. D’où les malentendus multip
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p bien cacher le secret d’un peuple, on expose le
peuple
à oublier le secret. D’où les malentendus multipliés à l’endroit de l
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Nous avons à offrir et proposer à l’ensemble des
peuples
de l’Europe, non pas comme on le croit généralement le modèle 1848 d’
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tionaux, mais devant un parlement élu par tout le
peuple
européen. Enfin, pour assurer la cohérence d’une politique européenne
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et décoratif, l’image indispensable à la piété du
peuple
chrétien. (Théodore Strawinsky, En quête de l’Art sacré.) Byzance et
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exe de culpabilité (1975)m Au premier rang des
peuples
qui se disent heureux, selon les sondages d’opinion, les Suisses n’en
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spectateurs de l’Histoire. Considérant les autres
peuples
, ils se réjouissent de leur liberté et de leur sagesse. Ce sont, par
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lle — mais simplement l’unir pour le salut de ses
peuples
, le maintien de leurs libertés et de leurs coutumes particulières. Ma
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Suisses — qui s’en réclament — que par les autres
peuples
de l’Europe — qui ne voient pas bien ce qu’ils pourraient en faire. D
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suppose en revanche, et pratiquement, l’union des
peuples
de l’Europe ; parce que cette union politique serait seule capable de
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us de dix ans, dans La Suisse ou l’histoire d’un
peuple
heureux . Aujourd’hui, il me semble que ce « modèle » (au sens scient
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ue. Or, chez les Celtes, comme chez bien d’autres
peuples
, l’oncle maternel prend la place du père (même vivant) et devient le
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u besoin. Sans obstacles, point de passion. « Les
peuples
heureux n’ont pas d’histoire », dit le proverbe. Un couple heureux ne
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ésoudre les problèmes de l’union politique de nos
peuples
, mais elle atteste mieux que la science — autre produit typique de l’
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économie obéit aux mêmes nécessités chez tous les
peuples
, quelles que soient leurs croyances religieuses ; que la technique es
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urieux mélange de gouaille à la française dans le
peuple
, de sérieux calviniste dans la grande bourgeoisie, de gauchisme intel
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le je tiens, c’est celle-ci : « La décadence d’un
peuple
commence quand on se demande qu’est-ce qui va arriver au lieu de se d
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ution s’est chargée de gommer cette diversité des
peuples
, mais encore l’histoire officielle feint de l’ignorer. La révolution
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semble, était avant tout utile aux États, non aux
peuples
. L’État-parti, qui domine à l’Est, a suivi la même voie. C’est d’auta
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able. Les hommes d’État mentent trop à ceux du
peuple
Vous êtes un farouche ennemi de l’État-nation ? J’ai toujours été
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isse quand on dit le souverain, c’est toujours du
peuple
qu’on parle. Ce sont les États-nations et eux seuls, qui ont géré la
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ouffre, cette minute où, retenant son souffle, le
peuple
attend l’annonce fatidique, et tout d’un coup, à grandes volées, les
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lequel déclare à Genève, en 1929, qu’« entre les
peuples
de l’Europe doit exister une sorte de lien fédéral ». Briand charge s
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es — et non l’inverse. La volonté d’unir tous les
peuples
du continent, ceux de l’Est compris, est affirmée comme seul moyen de
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sultative, élue par les parlements et non par les
peuples
, ne pourrait rien contre un Comité de ministres, représentant les sou
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s stato-nationaux sur les intérêts mesurables des
peuples
. L’idée d’une Communauté de défense européenne, écartée de la discuss
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es Neuf, en attendant la vraie Europe — celle des
peuples
et non des États. L’Europe des peuples, des cœurs et des esprits :
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elle des peuples et non des États. L’Europe des
peuples
, des cœurs et des esprits : c’est elle qui motiva au premier chef Rob
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uvoir du souverain consiste dans l’abandon que le
peuple
souverain lui a fait, une fois pour toutes, de sa souveraineté. Ce n’