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d’un complot des grands, des puissants contre les
peuples
? Je ne dirai jamais cela. Il n’existe pas de complot conscient, cyni
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t des États-Unis sont convaincus de défendre leur
peuple
et leur idée de la civilisation. Ils ne se rendent même pas compte de
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et britannique, et sans les fusées de l’OTAN. Les
peuples
parviendront-ils à obtenir le retrait des armes atomiques d’Europe ?
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interaction : l’un tendant à la fédération de nos
peuples
à l’échelle continentale, l’autre à la restauration ou à la création
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ns Denis de Rougemont / Groupe Cadmos, Rapport au
peuple
européen sur l’état de l’union de l’Europe 1979, Paris, Stock, 1979,
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ectuel au chômage , La Suisse ou l’histoire d’un
peuple
heureux et Lettre ouverte aux Européens — autant que par son actio
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qu’un. Cela peut tenir aux origines asiatiques du
peuple
hongrois, qui est venu comme un corps étranger dans l’Europe. Donc, p
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sidérée comme seule base commune, des trente-cinq
peuples
européens. — Poursuivre le thème de la lutte contre les nationalismes
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s rien, je n’ai que mon prestige vis-à-vis de mon
peuple
! Je ne suis qu’un petit homme du commun ! Si je perds mon prestige,
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uel point le Führer, le Guide de l’inconscient du
peuple
, est en même temps conscient de son opération, lucide et froid comme
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passion brûlante peut changer les destinées d’un
peuple
. Surtout, ne donnez pas de raisons aux masses, car de tout temps le
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ité de Versailles, « cette Gorgone terrorisant le
peuple
allemand qui vivait désarmé et humilié sous le regard de ces milliers
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supprime le Juge, et la faute. En fondant tout un
peuple
dans une masse passionnée, il le rend à l’état d’innocence première :
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sociale, écologique, culturelle et politique des
peuples
du continent sur la base du traité de Rome, c’est-à-dire sur des comb
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unit que des ministres, en fin de compte, non des
peuples
par leurs élus. C’est lui qu’il eût fallu élire au suffrage universel
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? Les deux obstacles principaux à l’union des
peuples
européens étant la souveraineté nationale absolue d’une part, la divi
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la dernière à rejoindre une union fédérale de nos
peuples
, dont elle aura été, dans le même temps, la première figuration et la
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eler l’idéal politique que représente pour lui le
peuple
genevois assemblé dans le « Temple de Saint-Pierre », comme il appell
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européen et le traduire en union politique de nos
peuples
. Je suis retourné pour quelques mois aux États-Unis, puis rentré défi
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n Europe, le premier devoir serait de fédérer nos
peuples
. Et ce retour s’est fait pour moi au printemps de 1946, sous les meil
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st-à-dire respectueuse des autonomies — entre les
peuples
de l’Europe, dont j’opposais les idéaux réels à ceux des Soviétiques
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e , Lettre ouverte aux Européens ou Rapport au
peuple
européen sur l’état de l’union européenne . Et des centaines d’articl
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u malheur ! » Le vrai prophète veut détourner son
peuple
des voies qui conduisent au désastre. Ce qu’il prêche, c’est la voie
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uvoirs, que l’opacité de ces Pouvoirs aux yeux du
peuple
. Bien sûr, le minimum légal à obtenir — c’est déjà fait dans la plupa
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s que l’homme existe, — soit d’une fédération des
peuples
de la planète, d’abord par continents, puis à l’échelle mondiale ; —
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des nationalités a mises et met encore entre les
peuples
de l’Europe, grâce aux politiciens à la vue courte et aux mains promp
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tralisé : « Ein Volk, ein Reich, ein Führer » (un
peuple
, un empire, un chef). Telle était la devise de Hitler. Devise jacobin
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dans la lutte militante pour la fédération de nos
peuples
. À mes amis fédéralistes, dont beaucoup avaient milité avant la guerr
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son union réalisée à temps : la fédération de nos
peuples
. À cette union s’oppose le dogme de la souveraineté absolue des États
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grès. La guerre est devenue impensable entre deux
peuples
de l’Europe : fait capital, dont nous avons trop peu conscience. Déjà
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exécutif, qui élit le Conseil des commissaires du
peuple
. Cette constitution pyramidale, fédéraliste en apparence, culmine dan
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viétique comme un régime de « libre fédération de
peuples
égaux en droits », ouvert « à toutes les républiques soviétiques qui
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e la propriété de l’État, c’est-à-dire le bien du
peuple
tout entier. Cependant, l’art. 7 prévoit que « chaque foyer kolkhozie
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« la propriété de l’État, c’est-à-dire le bien du
peuple
tout entier », ou inversement : tout appartient au peuple, c’est-à-di
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out entier », ou inversement : tout appartient au
peuple
, c’est-à-dire à l’État. De même, « tout le pouvoir appartient aux tra
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suprême de l’URSS, du Conseil des commissaires du
peuple
de l’URSS, et des Commissariats du peuple de l’URSS ». Ce tout-puissa
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ires du peuple de l’URSS, et des Commissariats du
peuple
de l’URSS ». Ce tout-puissant « Soviet suprême de l’URSS », qui exerc
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rêtés et décisions du Conseil des commissaires du
peuple
, décerne les décorations, exerce le droit de grâce, nomme et relève l
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État de l’URSS est le Conseil des commissaires du
peuple
de l’URSS, responsable devant le Soviet suprême et dans les intervall
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les autres étant du ressort des « Commissaires du
peuple
fédéraux, républicains et fédéraux-républicains-autonomes » (chap. VI
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1 proclame que « l’URSS est un État socialiste du
peuple
tout entier » et non plus seulement, comme dans les précédentes const
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élus et doivent rendre compte de leur activité au
peuple
. Les décisions des organes supérieurs sont obligatoires pour les orga