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t-ils ; en attendant, ils les veulent soumis.) Le
peuple
veut des programmes pratiques, mais se contente, en fait, du verbalis
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et contre lui ; pour le chef bien-aimé, Père des
peuples
, et pour ses innocentes victimes, vipères lubriques ; pour Franco et
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nos mythes perpétuent le souvenir et que d’autres
peuples
… auraient préservée jusqu’à nos jours ». C’est la préférence accordée
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tagent la tradition historique commune à tous les
peuples
de ce continent. Le mythe du « bon sauvage » que l’Europe « réaliste
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rons », voire de l’idée que se fit l’Antiquité du
peuple
des Scythes, connu (nous disent Boas et Lovejoy)7 « pour la Voie comm
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de la liberté, j’entends l’union fédérale de nos
peuples
, au-delà des prétentions de l’État-nation ? 4. Sur le chapitre du col
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« Son dernier livre est dédicacé (sic) à tous les
peuples
qu’écrase le colonialisme français : basques, provençaux, bretons, lo
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e (gaullistes et communistes à l’envi) et par son
peuple
, les raisons les plus raisonnables de faire confiance à l’avenir euro
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e fera pas l’Europe si on ne la fait pas avec les
peuples
et en les y associant23. ». « C’est un référendum solennel de tous le
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l réitère, cette fois-ci à la RTF, devant tout le
peuple
français : Votre réponse va engager le destin de la France, parce qu
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on d’un développement harmonieux et pacifique des
peuples
européens. 2. Selon les termes mêmes de la déclaration faite à Bordea
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us les congrès de la paix et de la fédération des
peuples
qu’il a traversés pendant vingt ans, environné d’un long tonnerre d’a
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neté absolue est enlevée aux Princes et passe aux
Peuples
. (C’est la doctrine rousseauiste dans sa pureté.) Le projet de fédéra
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se librement, qui s’étendrait à la fin à tous les
peuples
de la terre. Pour Hegel, une génération plus tard, l’Europe est vrai
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l’irruption des régimes totalitaires du Père des
peuples
, du Duce et du Führer, les plus grands écrivains de nos pays (à l’exc
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congrès de Montreux, sera l’union fédérale de nos
peuples
. À Genève, au début de septembre 1946, se produit quelque chose qu’on
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des nationalistes a mises et met encore entre les
peuples
de l’Europe, grâce aux politiciens à la vue courte et aux mains promp
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vellent ces vaines discussions qui, chez tous les
peuples
, ont si fréquemment tourmenté l’opinion publique. Commentaires de G.
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ligion et la poésie ; enfin, ils sont vraiment le
peuple
de Dieu, ces hommes qui ne désespèrent pas encore de la race humaine,
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e chose de très singulier dans la différence d’un
peuple
à l’autre : le climat, l’aspect de la nature, la langue, le gouvernem
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cite : La religion chrétienne a été le lien des
peuples
du Nord et du Midi ; elle a fondu, pour ainsi dire, dans une opinion
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t les vaincus ont fini par n’être plus qu’un même
peuple
dans les divers pays de l’Europe et la religion chrétienne y a puissa
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et homme elle eût proposé l’union fédérale de nos
peuples
, dans cet enthousiasme auquel elle consacre les trois derniers chapit
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u ton éclat sans rival ? Où est la vigueur de ton
peuple
? Où, le respect que toutes les nations te portaient ? Où, ta majesté
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e, et n’a cessé d’appeler à son aide l’Europe des
peuples
— celle des gouvernements se bornant à le bannir d’un pays à l’autre
26
s Russes. Liberté, pour lui, signifie liberté des
peuples
. Mais il y a toujours dans le mot de Liberté, beaucoup plus que ce qu
27
Et qui n’a pas conquis sa liberté ! Lâches, les
peuples
t’ont abandonné Ô Magyar ! Toi seul continues à combattre… Liber
28
baisse sur nous, Reconnais-nous ! Reconnais ton
peuple
! Alors que d’autres n’osent même pas verser des larmes Nous les
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cette nausée, ce dégoût, qui prend à la gorge le
peuple
des petits devant des “parlementaires ventrus” engoncés dans leurs “f
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« cuisses dures d’une dictature qui chevauche les
peuples
et les libère des clôtures de la pseudo-démocratie ». C’est les nouve
31
s la paix en Europe fondée sur l’amitié entre les
peuples
, les groupes ethniques, sur le non-alignement et la non-violence. Ver
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e honnête de la prospérité de la planète avec les
peuples
du tiers-monde. Pour une Europe des régions. De nombreux groupes ré
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sur une base fédérale ; — la représentativité des
peuples
et des régions au sein du Parlement de Strasbourg ; — l’adoption de l
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uand un seul a la souveraineté et que le reste du
peuple
n’y a que voir ; la démocratie ou l’estat populaire quand tout le peu
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la démocratie ou l’estat populaire quand tout le
peuple
ou la plupart d’iceluy en corps a la puissance souveraine ; l’aristoc
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a souveraineté en corps, et donne loy au reste du
peuple
». Et de montrer longuement que tous les mixtes de ces trois formes d
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sa charge. La puissance absolue du prince — roi,
peuple
ou groupe privilégié — n’est limitée que par la volonté divine dont l
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iècle à l’aube du xixe , les termes de nation, de
peuples
ou de langues, de pays ou d’États sont interchangeables, non seulemen
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de l’Angleterre l’appelle en l’espace de 8 lignes
peuple
libre, cette nation (deux fois), puis cet État — et ainsi de suite pe
40
Le Moyen Âge ne parle guère que de royaumes et de
peuples
. Le xvie siècle élabore et précise la notion de souveraineté pour dé
41
siècle de Louis le Grand, s’il fait peu de cas du
peuple
n’en célèbre que mieux les nations — qui est leur dénomination lyriqu
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tion, bien sûr, non de l’État, et moins encore du
peuple
, dont le mieux qu’on puisse dire est « bon peuple », celui qui croit
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peuple, dont le mieux qu’on puisse dire est « bon
peuple
», celui qui croit un peu n’importe quoi. Les nations, pour Bossuet,
44
uerre et la domination, et non pour le bonheur du
peuple
. Le lien originel entre guerre et nation se retrouve même chez les au
45
: « Une nation de soldats va combattre contre des
peuples
qui ne sont que citoyens », écrit Montesquieu dans ses Considérations
46
à nous, entre les termes de nation, de patrie, de
peuple
, de pays et d’État est dénoncée par une très simple observation : on
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une très simple observation : on peut annexer des
peuples
à une nation, ou des pays et territoires à un État ; mais on ne peut
48
, Britanniques et Allemands s’affrontent avec des
peuples
mal armés, mais aussi et surtout entre eux, parfois directement (Fach
49
voir des deux grands, à la fois sur leurs propres
peuples
, sur les États désunis de l’Europe, et sur l’anarchie du tiers-monde.
50
Dieu. Enfin, il est lié par ses devoirs envers le
peuple
qui obéit. « Trois ordres de lois, dont toutes seront abrogées par le
51
e la positivité du droit et de la souveraineté du
peuple
» (p. 235) car « le peuple devenu souverain, il est contradictoire qu
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de la souveraineté du peuple » (p. 235) car « le
peuple
devenu souverain, il est contradictoire qu’il se lie lui-même. » (p.
53
nférer à ce qu’ils nomment la nation — qui est le
Peuple
soumis à l’État — qu’ils incarnent. D’où, de nos jours, les définiti
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aujourd’hui par l’ensemble des citoyens. » Si le
peuple
est ici déclaré souverain, c’est l’État qui dispose du pouvoir par la
55
contre le « désordre établi ». 76. Rapport au
peuple
européen sur l’état de l’union de l’Europe , Stock, Paris, 1979. 77.
56
les aspects culturels fondamentaux de l’union des
peuples
de l’Europe. r. « L’État-nation contre l’Europe », Cadmos, Genève, n
57
s ensemble, demain, nous pouvons édifier avec les
peuples
d’outre-mer associés à nos destinées, la plus grande formation politi
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urope se définit clairement. Elle est d’unir ses
peuples
selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et dans les con
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péens, rassemblés pour donner une voix à tous les
peuples
de ce continent, déclarons solennellement notre commune volonté dans
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nouveaux et quelques amendements à la sagesse des
peuples
: Petit à petit, Paris ne s’est pas fait, mais par deux ou trois déci
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estion. On ne fera pas l’Europe sans informer ses
peuples
, et du danger qu’ils courent, et de la parade puissante que pourrait
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nstituer notre fédération. On n’informera pas les
peuples
sans une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer.
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e d’une telle campagne, c’est de faire sentir aux
peuples
qu’elle comporte un enjeu, et que leur sort peut changer, matériellem
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e d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous nos
peuples
aux écoutes de l’avenir, un vœu mêlé d’angoisse et d’espérance : méri
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ale où déjà il s’est engagé ? Si les délégués des
peuples
européens réunis à Strasbourg ne font pas l’Europe cette année, qu’y
66
ion des parlements ou à l’approbation directe des
peuples
par voie de référendum. Un premier serment de Strasbourg, en 842, a p
67
ux de cette étape de la lutte pour une Europe des
peuples
et non pas des États. Je retrouve dans mes notes du 24 août : « Avec
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és politiques et qu’il représente la totalité des
peuples
de l’Ouest du continent, donc de la plupart des diversités mêmes qui
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ables par des ministres représentant non point le
peuple
européen, mais des souverainetés nationales, coupez l’émission. L’exe