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uissant le sens des conventions publiques dans ce
peuple
qui, par ailleurs, a poussé plus loin que tout autre le sans-gêne ou
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coutumes qui qualifient la vie et la vision d’un
peuple
, et qui par là vont peut-être expliquer l’histoire du siècle, notre h
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otre histoire réelle. Car celle-ci dépend de deux
peuples
— l’autre est le russe — dont toutes les réactions intimes et sautes
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isme. Rien de tel pour blesser l’amour entre deux
peuples
que de les mélanger dans leurs épreuves. Les jeunes Américains se son
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icains se sont trouvés mêlés au grand malheur des
peuples
qu’ils aimaient de loin. Ils ont été courageux devant l’ennemi, mais
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a face de clown, Fiorello, la Fleurette, comme le
peuple
l’a baptisé, saisissant la baguette des mains du chef, dirigera pour
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nseur astucieux, possédé par l’idée d’empêcher le
peuple
de savoir ce qui se passe, n’eût pas trouvé de meilleur expédient : s
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i se préoccupe d’être immédiatement accessible au
peuple
, il faut qu’il se maintienne au niveau de la presse du savoir et de l
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e foi. S’est-on jamais préoccupé de savoir si les
peuples
étaient prêts pour la guerre, par exemple, et pour la mort en grande
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se de l’histoire a-t-on jamais demandé l’avis des
peuples
, et pourquoi furent-ils jamais prêts ? L’étaient-ils pour le christia
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exact dans le cas particulier. Vous dites que les
peuples
ne sont pas prêts à accepter l’idée d’un gouvernement mondial, mais q
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ernement mondial, mais qu’en savez-vous ? Le seul
peuple
« sondé » à ce sujet, celui des États-Unis, a donné 67 % de réponses
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tes hostile. Car autrement, au lieu de dire : les
peuples
ne sont pas prêts, donc le projet ne vaut rien, vous diriez : le proj
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paraît juste et nécessaire, donc il faut que les
peuples
se préparent à le réaliser. Passons aux objections plus réalistes d’u
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ire. Si au contraire ils étaient désignés par les
peuples
et secondés par un Parlement mondial, la possibilité d’une opposition