1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 uissant le sens des conventions publiques dans ce peuple qui, par ailleurs, a poussé plus loin que tout autre le sans-gêne ou
2 coutumes qui qualifient la vie et la vision d’un peuple , et qui par là vont peut-être expliquer l’histoire du siècle, notre h
3 otre histoire réelle. Car celle-ci dépend de deux peuples — l’autre est le russe — dont toutes les réactions intimes et sautes
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
4 isme. Rien de tel pour blesser l’amour entre deux peuples que de les mélanger dans leurs épreuves. Les jeunes Américains se son
5 icains se sont trouvés mêlés au grand malheur des peuples qu’ils aimaient de loin. Ils ont été courageux devant l’ennemi, mais
3 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
6 a face de clown, Fiorello, la Fleurette, comme le peuple l’a baptisé, saisissant la baguette des mains du chef, dirigera pour
4 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
7 nseur astucieux, possédé par l’idée d’empêcher le peuple de savoir ce qui se passe, n’eût pas trouvé de meilleur expédient : s
5 1947, Carrefour, articles (1945–1947). L’art dirigé [Réponse à une enquête] (23 janvier 1947)
8 i se préoccupe d’être immédiatement accessible au peuple , il faut qu’il se maintienne au niveau de la presse du savoir et de l
6 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
9 e foi. S’est-on jamais préoccupé de savoir si les peuples étaient prêts pour la guerre, par exemple, et pour la mort en grande
10 se de l’histoire a-t-on jamais demandé l’avis des peuples , et pourquoi furent-ils jamais prêts ? L’étaient-ils pour le christia
11 exact dans le cas particulier. Vous dites que les peuples ne sont pas prêts à accepter l’idée d’un gouvernement mondial, mais q
12 ernement mondial, mais qu’en savez-vous ? Le seul peuple « sondé » à ce sujet, celui des États-Unis, a donné 67 % de réponses
13 tes hostile. Car autrement, au lieu de dire : les peuples ne sont pas prêts, donc le projet ne vaut rien, vous diriez : le proj
14 paraît juste et nécessaire, donc il faut que les peuples se préparent à le réaliser. Passons aux objections plus réalistes d’u
15 ire. Si au contraire ils étaient désignés par les peuples et secondés par un Parlement mondial, la possibilité d’une opposition