1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 t au plus de 35 %. Est-ce peu ou beaucoup pour un peuple  ? Je n’en jugerais qu’après un essai en Europe. Il est clair que l’op
2 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
2 Vos États n’ont fait un pays qu’en unissant leurs peuples , et non leurs chefs, qui se sont effacés devant un pouvoir nouveau, s
3 sont effacés devant un pouvoir nouveau, sorti du peuple … Mais si l’on touche à l’idée de nation, voilà tous les visages qui s
3 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
4 s des amiraux, et qu’elle rassurât faussement les peuples quant aux risques institués par la bombe. Il se peut que cette campag
5 s forme d’initiales — c’est d’augmenter parmi les peuples le sentiment de leur interdépendance. Quand nous aurons compris que t
4 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
6 et contre lui ; pour le chef bien-aimé, Père des peuples , et pour ses innocentes victimes, vipères lubriques ; pour Franco et
5 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
7 s ensemble, demain, nous pouvons édifier avec les peuples d’outre-mer associés à nos destinées, la plus grande formation politi
8 Europe se définit clairement. Elle est d’unir ses peuples selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et dans les con
9 péens, rassemblés pour donner une voix à tous les peuples de ce continent, déclarons solennellement notre commune volonté dans
6 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
10 ercial entre cantons, point de représentation des peuples . Un seul organe commun, la Diète, sorte de Comité des ministres, comp
11 elle adopte le 27 juin. Pendant le mois d’août le peuple vote dans les cantons. Le 12 septembre, la Diète proclame que la Cons
7 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
12 estion. On ne fera pas l’Europe sans informer ses peuples , et du danger qu’ils courent, et de la parade puissante que pourrait
13 nstituer notre fédération. On n’informera pas les peuples sans une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer.
14 e d’une telle campagne, c’est de faire sentir aux peuples qu’elle comporte un enjeu, et que leur sort peut changer, matériellem
15 de vivre ! Vous n’êtes pas encore l’espoir des peuples libres, ni des peuples muets de l’Est européen. Mais vous pouvez le d
16 es pas encore l’espoir des peuples libres, ni des peuples muets de l’Est européen. Mais vous pouvez le devenir et sonner le ral
17 e d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous nos peuples aux écoutes de l’avenir, un vœu mêlé d’angoisse et d’espérance : méri