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se « incompréhension » que l’on observe entre les
peuples
, je ne la crois pas de nature sentimentale d’abord. Dans toutes ces q
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de chacun de ses termes. Exemples : le droit des
peuples
à disposer d’eux-mêmes signifie, dans le langage totalitaire ; le dro
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nifie, dans le langage totalitaire ; le droit des
peuples
les plus forts à disposer de leurs voisins les plus faibles ; consoli
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est l’élasticité illimitée. Plus la vitalité d’un
peuple
est « sûre d’elle-même », plus ses nécessités dites vitales s’accrois
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paix »… Bornons-nous à remarquer qu’aux yeux des
peuples
revendiqués par le Reich dans ces termes, ce qui est espace vital pou
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faits ou par les prophètes. Isaïe réveillait son
peuple
par le sublime oracle de Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ?
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ntisémites ? Au fait, je ne voulais pas parler du
peuple
massacré, mais de ses massacreurs. Quelques-uns des Américains que j’
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fâche. Ne sait-on pas dans le monde entier que le
peuple
allemand plébiscita cinq fois le régime hitlérien, par d’écrasantes m
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oit, leur a-t-on enseigné, c’est « ce qui sert le
peuple
allemand ». Plan d’éducation politique pour les nouvelles générations
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dus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un
peuple
nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, q
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ouches officielles. Cette idée, c’est l’unité des
peuples
de la planète, c’est le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la «
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me qui, par nature, serait démesurée pour un seul
peuple
, tandis qu’elle devient effective à l’échelle planétaire, précisément
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paraît claire. Il faut d’abord dresser devant les
peuples
une vision simple des possibilités d’union mondiale qui sont ouvertes
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active, j’entends par là : de volonté d’aider un
peuple
que l’on tient cependant pour coupable d’une catastrophe continentale
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ays abattu comme jamais pays ne le fut ; voici un
peuple
qui se réveille du cauchemar d’un bombardement moral, politique et ph
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prudente Que faut-il faire vis-à-vis d’un tel
peuple
? Il faut l’aider à redevenir humain. Il faut premièrement lui expliq
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une politique de cure sévère, propre à guérir un
peuple
intoxiqué ? Je pressens que l’exercice de la seconde méthode n’aurait
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mort instantanée s’abattant au hasard sur tout un
peuple
, effraye moins qu’une séance chez le dentiste. La seconde, c’est que
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montré pourquoi la politique se confond, chez ce
peuple
insolite, avec une administration bien entendue, dont le seul but est
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is les problèmes sont analogues, et l’attente des
peuples
est la même. « Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est plus étra
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oi. Quant à ceux qui militent pour l’union de nos
peuples
, ils ne sauraient étudier d’assez près cette expérience de laboratoir
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i dément la sagesse proverbiale : l’histoire d’un
peuple
heureux. q. « Sagesse et folie de la Suisse », Le Figaro, Paris, n°
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, on vient de le sentir à Berlin, surgissant d’un
peuple
écrasé. Et ce n’est pas l’Europe des marchandages entre nations qui e