1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
1 savons-nous des résonances qu’éveillent dans « le peuple  » les grands mots du langage politique ? Et du sens qu’il leur donne
2 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
2 e livre des femmes nationales-socialistes ; Race, peuple , soldat ; La paysannerie, source de la race nordique. L’âme nordique
3 43e mille) ; Hygiène raciale ; Science raciale du peuple allemand (en 8 volumes de titres divers. — 99e mille en moyenne). Mus
4 race ; La France et l’idée raciale ; Race, droit, peuple  ; Race et état dans le domaine Nord-Est ; Traits fondamentaux de l’h
5 lemande ; Race et patrie chez les Indo-Germains ; Peuple et race (revue). Comme il ne s’agit là que du catalogue d’une seule
6 ure) ; Les Grands Allemands ; Histoire de notre peuple  ; Figures du passé allemand ; Le caractère populaire allemand ; Le
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
7 r ce grand mot dont on lui rebat les oreilles, le peuple de France, un beau jour, ne se décide à jouer sérieusement, — à jouer
8 dans l’invention, non dans la marche en rangs. Un peuple qui accepte une dictature se décerne un certificat d’incapacité polit
4 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
9 itaire n’exprime point tant l’âme collective d’un peuple que le besoin de porter remède à ses carences profondes, et de les co
10 nser. Hitler est en train d’opérer un dressage du peuple allemand (comme Staline, un dressage du russe), dressage dont les but
11 e une école civique élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce qui lui manquait pour désirer la vraie démocratie. Et pou
12 rrages jusqu’aux abords de la Festhalle — tout un peuple campe alentour, depuis le matin — et je ne puis franchir les portes q
13 dissous ; où les religions n’apparaissent plus au peuple et aux élites que sous l’aspect de survivances sociales ; où les clas
14 où naît un appel. C’est à ce formidable appel des peuples vers un principe d’union, donc vers une religion, que les dictateurs
15 n longtemps au besoin de croire de la majorité du peuple . Nous voulons croire à la mission du peuple allemand. Nous voulons cr
16 té du peuple. Nous voulons croire à la mission du peuple allemand. Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un arbre don
17 allemand. Nous voulons croire à l’immortalité du peuple (un arbre dont nous ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque g
18 aussi invraisemblable que « l’immortalité » d’un peuple — on ne peut pas exprimer d’une manière plus précise et ramassée la n
19 c la volonté consciente et avouée du Führer et du peuple , il n’y a pas de raison de penser que l’aventure puisse bien finir. T