1 soustraits, multipliés et divisés à l’infini. Du peuple on a fait une masse, — comme de la personne un numéro. De la patrie o

2 i s’abstrait ainsi lui-même de la vie profonde du peuple et de l’activité créatrice des élites ? Ni le pouvoir ni les lois ne

3 étatiste de l’URSS. C’est ce hiatus qui a valu au peuple russe la dictature de transition dont nous ne cesserons de dénoncer l

4 st la puissance, en lui est la volonté de tout le peuple 26. » C’est cette troisième faction qui a bénéficié de l’édit de Nant

5 s, qui leur donna le spectacle d’un si prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime… enfin qui, pour comble de t

6 août 1935)n … Nous nous battrons le jour où le peuple français aura compris que l’adversaire unique est le capitalisme cent

7 s bien ce que vous entendez par là : « Les autres peuples en sont encore à la guerre armée, nous, nous luttons pour édifier un

8 te opération antiparlementaire a été présentée au peuple allemand comme un acte démocratique. Le Führer, dans plusieurs de ses

9 tance, ne sont en réalité que des oligarchies. Le peuple y est privé du pouvoir de trancher les questions importantes. Entre l

10 omme un somnambule aux ordres de la Providence du peuple allemand. ») Et il terminait d’une voix tonnante : « Voilà ce que j’a

11 s qui appellent « démocratie » le gouvernement du peuple par des députés livrés à toutes les intrigues des puissances occultes

12 able démocratie, définie comme le gouvernement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la démocratie pure, n’a jamais pu s’ex

13 ler sans sophisme d’un contrôle de pouvoir par le peuple . 3. Nécessité du plébiscite Le plébiscite est donc un référendu

14 Jusqu’à quel point a-t-on le droit de tromper le peuple  ? — fût-ce pour son bien… On voit très clairement pourquoi l’État nat

15 trust de Roosevelt, oublient que la mission d’un peuple n’est pas une affaire de calcul. Ils réduisent toute la politique au

16 ivité des personnes aussi bien que dans celle des peuples , de ce qui est organisation et de ce qui est création ; et à subordon

17 beau, bien cohérent, — trop cohérent… Quel est le peuple qui ait jamais pratiqué une telle politique, dans l’histoire du monde

18 idéal du servage industriel que Staline impose au peuple russe ; que l’alternative actuelle n’est pas machinisme ou artisanat,

19 dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès qu’un peuple à côté de vous, que ce soit l’Italie ou l’Allemagne, essaie de faire

20 qui sont bien loin des préoccupations urgentes du peuple allemand, mais qui fournissent des bases idéologiques à la lutte pour

21 re, on ne peut pas sauter une époque que d’autres peuples ont vécue, et tomber à pieds joints dans l’avenir. À quoi les ergoteu

22 qui briguent : il faut les refaire aux dépens des peuples vaincus. À partir du iie siècle, les conquêtes extérieures n’ont plu

23 us en plus viles de part et d’autre. Il a fait du peuple romain un peuple d’exploiteurs impérialistes et de rentiers. Enfin, i

24 de part et d’autre. Il a fait du peuple romain un peuple d’exploiteurs impérialistes et de rentiers. Enfin, il a nécessité l’é

25 lors la noblesse, le clergé et la bourgeoisie. Le peuple n’est rien que la source de main-d’œuvre. Si le pauvre veut s’élever,

26 aboutit à fabriquer ces mythes qui ont nom race, peuple , prolétariat, prospérité, abondance, grandeur de la nation… mythes qu

27 ble de l’attitude de ceux qui se penchent vers le peuple comme vers un abîme insondable pour y écouter les paroles d’une vérit

28 et contre lui ; pour le chef bien-aimé, Père des peuples , et pour ses innocentes victimes, vipères lubriques ; pour Franco et