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, qui nourrissent les éditoriaux mais laissent le
peuple
sous-alimenté. Il ne faut pas dissoudre les partis ni en sortir, bien
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de. Certains jours, il me semble que la folie des
peuples
, des gouvernants, des militaires, et de tous les irresponsables qui n
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mée de délégués des États, l’autre de députés des
peuples
. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que
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nutile même de la nommer.) Il est évident que les
peuples
se révolteront contre cette nation et son régime, tôt ou tard. Il est
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ne, reconstitués, discrètement archéologiques. Le
peuple
américain — est-il puéril ou sain ? — adore plus que tout autre les c
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e leur Bible qu’un démagogue au nom des droits du
peuple
. Pendant trois siècles, les « dénominations » diverses ont fourni aux
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ous sommes d’accord. La parole est maintenant aux
peuples
, à l’opinion qui se réveille, aux citoyens du continent. Ils vont la
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oisons, notre Europe à reconquérir, pour tous ses
peuples
, pour tous ses partis, et comme le veut son vrai génie, pour tous les
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ns à quoi elles mènent ! Que vaut le bonheur d’un
peuple
, que vaut sa communion, quand elle est établie par la police au prix
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me, par l’homme, à travers l’homme que les grands
peuples
d’animaux attendent le salut, sans le savoir peut-être — mais que sav