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ent mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les
peuples
de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même jusqu’en Ukraine
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son tour n’était nullement l’émanation des petits
peuples
ou tribus, mais « une institution en quelque sorte internationale »,
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uelque sorte internationale », commune à tous les
peuples
d’origine celtique, du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en I
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rencontres des druides « cimentaient l’union des
peuples
celtiques et le sentiment de leur parenté »16. Les druides formaient
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stitutions tout à fait identiques chez les autres
peuples
indo-européens : mages iraniens, brahmanes de l’Inde, pontifes et fla
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i était originaire de l’Iran) ait pris, selon les
peuples
et leurs croyances, des formes très diverses, tantôt chrétiennes, tan
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assion doit normalement se développer au sein des
peuples
qui adorent Éros ? Et qu’au contraire, les peuples chrétiens — histor
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euples qui adorent Éros ? Et qu’au contraire, les
peuples
chrétiens — historiquement les peuples d’Occident — ne devraient pas
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raire, les peuples chrétiens — historiquement les
peuples
d’Occident — ne devraient pas connaître la passion, ou tout au moins
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antes, qui les imposèrent par la force à tous les
peuples
d’Occident. Dès lors, les vieilles croyances païennes refoulées devin
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l’évolution du mythe courtois dans la morale des
peuples
d’Occident : l’on peut admettre qu’elle est parallèle à ses métamorph
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sormais dans les couches profondes et muettes des
peuples
, là où la vie sociale ne se prête plus aux formes nobles, ne fournit
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artiates s’ordonnait au rendement militaire de ce
peuple
. L’eugénisme de Lycurgue, et ses lois minutieuses réglant les relatio
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r tâche de réprimer la brutalité et la licence du
peuple
, mais elle n’y suffisait pas. L’aristocratie, en dehors des préceptes
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hommes d’armes étaient ou paysans ou de la lie du
peuple
, presque toujours sujets d’un autre prince que celui pour lequel ils
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but pour conquérir et garantir l’indépendance des
peuples
: Français de 1792-93, Espagnols de 1804-1814, Russes de 1812, Allema
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ations glorieuses et puissantes de la passion des
peuples
qui s’appellent : Valmy, Saragosse, Tarancon, Moscou, Leipzig, etc. E
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ntageux. Après avoir été le moyen violent que les
peuples
employaient pour se faire une place dans le monde en tant que nations
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inqueur triomphait d’un vivant, d’un pays ou d’un
peuple
encore désirables. L’intervention d’une technique inhumaine, qui met
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’est une négation de la passion ; mais il dit aux
peuples
voisins : — Nous sommes trop nombreux dans nos frontières, j’exige do
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rop bien : Dans sa grande majorité, écrit-il, le
peuple
se trouve dans une disposition et un état d’esprit à tel point fémini
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ver alors en la faisant peser sur la vie même des
peuples
ainsi constitués en blocs. L’État totalitaire est bien une forme recr
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s hommes coûtant cher — et de ne pas effrayer les
peuples
au point de rendre impossible tout recrutement des volontaires… 175.
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t : 1. — Contraintes sacrées Le mariage, chez les
peuples
païens, s’est toujours entouré d’un rituel dont nos institutions gard
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glorifier dans la guerre au nom de l’innocence du
Peuple
! Mais pour moi, ici et maintenant, le problème ne comporte pas d’éch
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nces n’ont pas produit les mêmes effets parmi les
peuples
de l’Orient ? C’est qu’elles n’y ont pas trouvé les mêmes obstacles.
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omme qui s’est manifestée principalement chez les
peuples
et dans les religions de l’Asie. L’Iran, l’islam, l’Arabie et le juda