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urckhardt, ne se connaissait plus que comme race,
peuple
, parti, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et col
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ts, dit le pasteur, de servir la Seigneurie et le
peuple
de telle manière que par cela je ne sois nullement empêché de rendre
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er, c’est que la doctrine réformée prédispose les
peuples
protestants à comprendre et à soutenir les régimes fédéralistes. L’ho
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e, ou pas faite du tout. Il en résultait, dans le
peuple
, le sentiment que l’État et l’Église formaient un tout et constituaie
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’ont plus de courage civique. Militarisation d’un
peuple
! C’est le contraire, le mot l’indique, d’une véritable civilisation.
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i personne n’avait très bien compris pourquoi les
peuples
, tout à coup, commençaient à se lancer des tonnes d’acier sur la tête
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eillante Providence. « La religion est l’opium du
peuple
», disait Marx. Je lui réponds que la croyance au Progrès est devenue
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l’une des causes principales de la mésentente des
peuples
réside dans ce désordre du langage, et dans l’absence de toute autori
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essés, à cause de la misère que subissaient leurs
peuples
. Et voici la faute de calcul qu’ils me paraissent avoir commise : ils
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rès bien d’essayer de répondre au grand appel des
peuples
vers une communauté. Mais on a répondu trop vite, et surtout d’une ma
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nous ne cessons d’y penser ce soir. L’appel des
peuples
reste insatisfait. Il continue à nous poser la plus sérieuse question
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e faut-il que cet espoir soit soutenu par tout un
peuple
, et qu’il ne se laisse pas décourager par les sceptiques professionne
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nscience reste vivace. Que l’armée soit proche du
peuple
, cela doit avoir pour effet idéal de « civiliser » la milice et non d
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oute action précise, il importe de rendre à notre
peuple
le sens d’un destin qui le dépasse. Petit peuple chargé d’une grande
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peuple le sens d’un destin qui le dépasse. Petit
peuple
chargé d’une grande mission ; s’il l’oublie, il étouffe bientôt dans
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dans les champs neigeux ; et derrière l’armée, un
peuple
entier qui guette, et qui travaille lui aussi jour et nuit, dans les
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age ? Vous m’entendez bien : je ne dis pas que le
peuple
suisse, dans son ensemble, représente, selon l’expression de Hugo, «
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ncore trop fondé à trouver, avec Rousseau, que ce
peuple
n’est pas né pour ce pays, ou que ce pays n’a pas été fait pour ce pe
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ce pays, ou que ce pays n’a pas été fait pour ce
peuple
. Cependant, ce pays et ce peuple sont mariés l’un à l’autre, et comme
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été fait pour ce peuple. Cependant, ce pays et ce
peuple
sont mariés l’un à l’autre, et comme le pays ne peut pas descendre au
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comme le pays ne peut pas descendre au niveau du
peuple
, il faut que le peuple s’élève au niveau du pays. C’est un appel enco
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pas descendre au niveau du peuple, il faut que le
peuple
s’élève au niveau du pays. C’est un appel encore, un appel de tous le
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s rapidement que les privilèges politiques, si le
peuple
qui en jouit ne sait pas les mériter par ses manières d’être et de pe
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mmédiate : Lève-toi, et va dire telle chose à tel
peuple
. Nous n’avons entendu, jusqu’ici, aucun appel aussi déterminé. Nous n
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artir du xiiie siècle, de garder libres pour les
peuples
et les princes les cols du centre de l’Europe. Mission pratique, deve