1 stoire de Cendrillon peut être retrouvée chez les peuples les plus divers de tous les temps. (On en a réuni cent-trente-et-une

2 (On en a réuni cent-trente-et-une versions.) Ces peuples n’avaient pas communiqué entre eux mais avec la réalité constitutive

3 es qu’elles sont naturellement païennes. Mais les peuples païens sont toujours religieux, alors que les femmes de ce temps sont

4 le tentait, la raison, la morale, le bien de son peuple … L’agent. Dans ce cas, je parlerais plutôt d’un raté ou d’un orgueil

5 vent qu’un étranger s’initiant aux croyances d’un peuple , soit le premier saisi par ce frisson d’absurdité que l’on baptise in

6 pressenti qu’une fable à ce point célèbre chez un peuple ne pouvait exprimer qu’un fait humain élémentaire. J’étais déçu de le

7 du son ombre et qui emprunte celle d’une fille du peuple . Mais Andersen, comme on pouvait s’y attendre, fait dominer l’aspect

8 n. Et ce qu’ils donnent fait toute la renommée du peuple . (Aujourd’hui c’est l’inverse qu’on observe : c’est ce que donne la f

9 même : on exigeait l’innocence de l’âme. Quant au peuple , il vaquait à ses travaux. Un jour, un paysan nommé Gordius vient à c