1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 reparti, revenu, et ce n’est pas fini. Comment un peuple aussi jaloux des moindres traditions locales, aussi sensuellement lié
2 1948, Suite neuchâteloise. III
2 e les prérogatives du Souverain des franchises du Peuple . » Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de pages où perce l
3 Sénat, et du Banneret ou Gardien des libertés du Peuple … [Ce dernier] est élu par l’assemblée générale des Citoyens, et demeu
3 1948, Suite neuchâteloise. VIII
4 us les contrastes qu’on a vus, c’est bien le même peuple et c’est le même accent. J’entends les mêmes allures, le même accent
5 urs, veut que si l’on parle de son pays et de son peuple on les loue sans aucune retenue, et cette vanité collective s’appelle
6 bien autre chose. C’est à quoi l’étranger juge un peuple au passage, et l’estime sympathique ou non. Tout le monde aime les Va
7 e centenaire est celui d’une libération, et qu’un peuple n’est vraiment libre que s’il possède et maîtrise d’abord, dans la fo