1 nt d’unité monétaire, point de représentation des peuples . Un seul organe commun, la Diète, sorte de Comité des ministres, comp

2 lle adopte le 27 juin. Pendant le mois d’août, le peuple vote dans les cantons. Le 12 septembre, la Diète proclame que la Cons

3 nouveaux et quelques amendements à la sagesse des peuples . Petit à petit, Paris ne s’est pas fait. Mais par deux ou trois décis

4 uropéens, J’ai tenté de traduire le sentiment des peuples en face de l’inertie de l’Assemblée. Ce n’était pas une attaque : je

5 ngers sur aucune de nos terres, dans aucun de nos peuples , comme à rien de ce qui forme l’héritage deux fois millénaire de nos

6 cent-vingt provinces, et de la génération qui les peuple aujourd’hui, plus de 200 millions d’hommes et de femmes, mais par-del

7 n y tient. Quelle opinion, et qui l’exprime ? Les peuples , interrogés sur la question, seraient bien en peine d’en comprendre l

8 qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il y a cent ans, n’a pas voté la suppression des souveraineté

9 estion. On ne fera pas l’Europe sans informer ses peuples , et du danger qu’ils courent, et de la parade puissante que pourrait

10 nstituer notre fédération. On n’informera pas les peuples sans une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer.

11 e d’une telle campagne, c’est de faire sentir aux peuples qu’elle comporte un enjeu, et que leur sort peut changer, matériellem

12 r, un signe ! Vous n’êtes pas encore l’espoir des peuples libres, ni des peuples muets de l’Est européen. Mais vous pouvez le d

13 es pas encore l’espoir des peuples libres, ni des peuples muets de l’Est européen. Mais vous pouvez le devenir et sonner le ral

14 e d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous nos peuples aux écoutes de l’avenir, un vœu mêlé d’angoisse et d’espérance : méri