1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
1 naissance virginale de Jésus, la tradition et le peuple dévot virent l’absence du sexe, donc du péché, plutôt que le signe po
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Soulèvement des puissances animiques
2 « moyens de diffusion » permettant de toucher les peuples . Cette première grande révolution de l’Amour, si soudaine dans son ex
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
3 n ensemble, j’entends le drame entre l’auteur, le peuple russe et le régime, drame préfiguré dans le roman lui-même, que j’int
4 le laisse, lui, Pasternak, en communion avec son peuple . Comment comprendre cette démarche, venant d’un homme qu’on ne peut s
5 un homme qu’on ne peut soupçonner de lâcheté ? Le peuple russe condamne Pasternak pour avoir mal parlé des commissaires. Mais
6 Mais Pasternak les attaquait pour avoir trahi le peuple russe. Si maintenant il les approuve afin de rentrer dans la faveur p
7 a faveur publique, n’est-ce pas lui qui trahit le peuple  ? Ce serait le cas, en effet, si Le Docteur Jivago était un acte poli
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
8 a maîtrise des instincts : La civilisation d’un peuple se manifeste dans l’unité disciplinée des instincts de ce peuple : la
9 este dans l’unité disciplinée des instincts de ce peuple  : la philosophie maîtrise l’instinct de connaissance, l’art maîtrise
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
10 ci-bas. L’absolu, ou la négation du moi Les peuples des régions que l’Europe nomme Asie diffèrent bien plus entre eux que
11 nomme Asie diffèrent bien plus entre eux que les peuples de l’Europe, mais s’il est une croyance qu’ils ont tous en commun, c’
12 Il y aurait donc malentendu fondamental entre les peuples et leurs sages, entre la religion des uns et la métaphysique des autr
13 enchérit : « Y a-t-il un enseignement à donner au peuple  ? — Oui. — Lequel ? — Il n’y a ni esprit, ni Bouddha, ni aucune chose
14 e chose qui existe. » (Mais on ne donne jamais au peuple cette leçon. On s’en garde !) Les spirituels hindous cherchent le sam
15 ient des doctrines… Et en même temps l’Orient des peuples et sa croyance en la transmigration… Mais voici le moment d’ajuster l
16 es sont ambigus à l’infini, pour nos mesures. Les peuples sont dans l’ignorance malheureuse des origines et des fins de ce qu’i
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
17 forme le climat des milieux bien-pensants dans le peuple et la bourgeoisie, catholiques, protestants ou laïques. Cette morale