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cor. Macrocosme et microcosme : la politique des
peuples
ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins, de mentir
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où l’Europe semblait abandonner à son malheur ce
peuple
turbulent et déchu, suffirent à faire d’un affairiste anglais l’idole
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e et mystique, elle le doit au charme égyptien du
peuple
errant qui lui donna sa musique nationale9. Les signes parlent, et ce
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. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas,
peuple
de perdition, Peuple inconnu, — mais c’est toi, c’est toi qui l’as ca
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viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition,
Peuple
inconnu, — mais c’est toi, c’est toi qui l’as caché dans une roulotte
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ticulières de son activité. En même temps elle se
peuple
d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à tr
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e fois de plus, je m’émerveille du réalisme de ce
peuple
de rêveurs. Dans les Affinités électives, au moment le plus dramatiqu
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d’elle et battirent de leurs grandes ailes. Et le
peuple
effrayé recula. » Mais la princesse jette sur eux les cottes d’orties
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le. « Elle est innocente ! » s’écrient-ils, et le
peuple
s’agenouille comme devant une sainte. « Et pendant que l’aîné des frè
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le récitatif du troisième acte : Ô maintenant,
peuple
des monts et des vallées — tremble dans l’attente orageuse — sous un
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’est pas prêt pour cela. Les chefs disent que les
peuples
n’en veulent pas, les peuples disent que les chefs s’y opposent. Faut
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hefs disent que les peuples n’en veulent pas, les
peuples
disent que les chefs s’y opposent. Faut-il croire qu’ils sont prêts à
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reparti, revenu, et ce n’est pas fini. Comment un
peuple
aussi jaloux des moindres traditions locales, aussi sensuellement lié
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e les prérogatives du Souverain des franchises du
Peuple
. » Voici ce qu’il a cru démêler, en une vingtaine de pages où perce l
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Sénat, et du Banneret ou Gardien des libertés du
Peuple
… [Ce dernier] est élu par l’assemblée générale des Citoyens, et demeu
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us les contrastes qu’on a vus, c’est bien le même
peuple
et c’est le même accent. J’entends les mêmes allures, le même accent
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urs, veut que si l’on parle de son pays et de son
peuple
on les loue sans aucune retenue, et cette vanité collective s’appelle
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bien autre chose. C’est à quoi l’étranger juge un
peuple
au passage, et l’estime sympathique ou non. Tout le monde aime les Va
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e centenaire est celui d’une libération, et qu’un
peuple
n’est vraiment libre que s’il possède et maîtrise d’abord, dans la fo