1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 a Réforme. M. de Montherlant n’est décidément pas philosophe . Peut-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le temps de médit
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 er en maillot rouge assis entre un banquier et un philosophe au milieu d’une centaine d’étudiants et de professeurs suisses et fra
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 core un dîner très démocratique pendant lequel le philosophe Abauzit chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épa
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 qui préciseraient ce parallélisme du poète et du philosophe . g. « Les Bestiaires, roman, par Henry de Montherlant, chez Grasset 
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 qui donna un sens au monde. — Mais je bavarde, je philosophe , et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du
6 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
6 ires sans idéal et sans puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs
7 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
7 ait résoudre, bien des mystiques, des poètes, des philosophes , des psychiatres, des moralistes et des charlatans ont hasardé des ré