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et (le néant néantit) », venait d’écrire le grand
philosophe
Heidegger — un temps séduit par les mythes du nazisme. Ayant pour for
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l’Université de Berkeley (Californie) en 1961. Le
philosophe
Sidney Hook lui répondit aussitôt : « Si nous vous suivions, nous fin
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Julien Benda, des Italiens, des Anglais, un grand
philosophe
marxiste hongrois, Georges Lukacs… — rendez-vous vraiment historique,
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André Breton et Saint-John Perse, mais aussi des
philosophes
tels que Georges Gurvitch et Jacques Maritain, des peintres comme Mar
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eorges Bernanos, Stephen Spender et même le grand
philosophe
marxiste de l’époque, le Hongrois Georg Lukács, j’ai soutenu la thèse
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ourageant ? Il est certain que les écrivains, les
philosophes
et les sociologues — sinon les scientifiques — se sont généralement d
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ning et introduits par cette note : « Écrivain et
philosophe
dont les œuvres ont été traduites en 18 langues, Denis de Rougemont a
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fiques, bien sûr, mais aussi des théologiens, des
philosophes
, des sociologues et des poètes, chargés de la tâche fondamentale de r
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passionné. Autant il a su préserver l’irénisme du
philosophe
dans ses écrits et son comportement, autant il m’est arrivé de céder
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de Staro : vous y trouverez autant de poètes, de
philosophes
, de psychologues de langue allemande que d’historiens et de théoricie
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ant parce qu’il est amusant) de Georg Brandes, un
philosophe
danois, grand interprète de la philosophie allemande, qui avait beauc
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érité de la phrase. D’ailleurs, j’ai rencontré un
philosophe
américain nommé Max Lerner, avec qui j’avais discuté cela, et qui ava
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a dimension téléologique ? Oui. Je me rappelle un
philosophe
, un théologien, Paul Tillich, émigré aux États-Unis pendant la guerre