1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 eut naguère des insolences d’affranchi, dont les philosophes demeurent tout intimidés. Et nous vîmes le matérialisme mener son mor
2 critique du matérialisme entreprise par certains philosophes des sciences fait-elle songer à l’activité de cet espion anglais qui
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
3 tions l’idéalisme scientifique de M. Brunschvicg, philosophe officiel des lumières. De quelles prises, en effet, dispose cet idéal
4 : il y a lieu de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se
5 rticle de M. Marcel, catholique, à l’endroit d’un philosophe caractérisé, nous dit-on, par « sa terreur sincère de la vérité qui m
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
6 vril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe , d’Analyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le c
7 Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le célèbre philosophe fondateur de l’École de la Sagesse de Darmstadt vient de donner au Tr
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
8 9, tel est le titre de son pamphlet — ce sont les philosophes de la Troisième République. On peut recommander la lecture de ce livr
9 ’ordre établi. « Nous vivons dans un temps où les philosophes s’abstiennent. Ils vivent dans un état de scandaleuse absence. Il exi
10 r de réponses ». Au fond, M. Nizan reproche à nos philosophes d’exclure de leurs recherches tout ce qui intéresse chaque homme et t
11 as si grave, que le monde n’est plus mené par les philosophes , qu’il accorde à leur activité une importance qu’elle ne saurait avoi
12 garde. M. Nizan demande inlassablement ce que les philosophes bourgeois font et comptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le
13 encore qu’une formule), l’homme au singulier des philosophes , on sait ce qu’en vaut l’aune : ce n’est qu’une extension orgueilleus
14 surée du type d’homme qui intéresse tel groupe de philosophes , et qui vient se substituer à la réelle humanité. C’est, pour M. Brun
15 ctuels marxistes, en France particulièrement. Les philosophes ne s’adressent jamais à tel homme dans telle situation quotidienne, r
16 t. S’ils n’ont pas trop souvent cherché auprès de philosophes secrètement avides de prêtrise, ou même prêtres, ou même canonisés, u
17 . Nous n’avons plus à argumenter à la manière des philosophes , mais à témoigner. Épreuve dangereuse et salutaire, germe de cette « 
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
18 igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis : « Il paraît qu’il exist
6 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
19 Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)r Combien existe-t-il en France de personnes i
20 ple de l’Allemagne peut nous faire réfléchir. Les philosophes y connaissent des succès dont rien, ici, ne peut donner l’idée ; et m
21 « succès » de saison. Mais l’insuccès notoire des philosophes auprès du grand public a des causes plus graves, qu’il faut attribuer
22 uses plus graves, qu’il faut attribuer autant aux philosophes qu’à ceux qui ne les lisent plus. Le public se figure que la philosop
23 le-même un acte43. Et c’est ici la déficience des philosophes qui se montre. Sous prétexte de science, la pensée de nos maîtres s’e
24 ns peine l’indifférence où le public la tient. Un philosophe « sérieux » pour l’Université c’est trop souvent un homme que l’étude
25 stention ? ⁂ Tel est l’état des choses. Public et philosophes ont si bien pris l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se de
26 it pas une révolution. Les évaluations morales du philosophe et les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Qu
27 pour aujourd’hui, d’introduction à deux essais de philosophes chrétiens : L’Homme du ressentiment, de Max Scheler44, Position et ap
28 t Martin Heidegger. On sait que la coutume de ces philosophes est de fonder leurs analyses sur des totalités, sur des unités d’expé
29 de s’interroger sur les sources de son être. Les philosophes lui sont de peu de recours. Ils ont fait de l’être un problème qu’ils
30 ité dans la vie du chrétien. r. « Deux essais de philosophes chrétiens », Foi et Vie, Paris, n° 61, mai 1934, p. 415-422.
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
31 ait pas déplu à l’humeur shakespearienne de notre philosophe . C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Souvenez-vous de ce cha
32 nguinaire aux faux dieux qu’elle a suscités. « Le philosophe dit à bon droit que la vie doit être comprise en arrière, mais il oub
8 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
33 ti les fragments traduits en trois rubriques : le philosophe , le moraliste, le politique. Je ne vois pas de meilleur moyen de donn
9 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
34 e fidèle, en prédicateur responsable, non plus en philosophe ou en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre. Ceci pourrait s
35 a mort. L. — Que savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit
10 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
36 al). C’est ce même terme qui servira aux premiers philosophes chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans un monde christianisé