1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 ruines de la Haute-Égypte révèlent en de Traz un philosophe de l’histoire aux vues larges et pourtant réalistes, aux hypothèses h
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
2 un style qui ne saurait être celui du poète ou du philosophe , par exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves, pour la plupart.
3 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
3 « Nous ne sommes plus un peuple de rêveurs et de philosophes  ! », proclamait récemment M. Goebbels. Mais, tandis que s’élevait l’i
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
4 re industrie qui est née de nos savants et de nos philosophes . De tout cela, Messieurs, vous êtes les Députés. On attend de vous l’
5 Goethe et de la littérature ; de Descartes et des philosophes  ; d’Einstein et des savants ; de Rembrandt et des peintres ; les dépu
5 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
6 pendant la disette de 1771 Face sud : Au poète philosophe Calas, Sirven, Montbailli, La Barre, Lally-Tollendal Émancipation
6 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
7 son utilité. Des hommes, admirés comme de grands philosophes , ont positivement attribué à ses habitants une supériorité physique,
7 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
8 ’Isaac et de Jacob » fait place ici au « Dieu des philosophes et des savants », encore qu’Ansermet dise très bien que ce n’est pas
9 ermet dise très bien que ce n’est pas le Dieu des philosophes qui sera d’un grand secours à l’homme d’aujourd’hui. (Paragraphe sur
8 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
10 n’agissent plus sur eux. C’est à l’essayiste, au philosophe lyrique, au moraliste imaginatif, de tenter d’agir sur l’époque dans