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ouverain. Peut-être faut-il reconnaître à ce seul
philosophe
le privilège d’avoir parlé sans complicité de ce qui nous détruit : R
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nt la détester. (Dix ans de discussions, chez les
philosophes
de Moscou, ont abouti, en 1932, à des définitions tellement abstruses
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ique. Tous les efforts des hommes — y compris les
philosophes
— consistent peut-être à échapper à cette vision, qui est l’angoisse
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du mot achèvement. À partir de Hegel, dit-il, le
philosophe
n’aura plus d’autre possibilité que celle de « réaliser » la philosop
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nture politique ou religieuse. Au grand Hegel qui
philosophe
« au dimanche de la vie » au-dessus du « banc de sable de cette vie t
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livre de Gundolf. C’est l’œuvre synthétique d’un
philosophe
des formes culturelles, plutôt que d’un historien de la science. Les
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s à part ; et beaucoup sont de grands poètes, des
philosophes
terriblement concrets : Maître Eckhart, Suso, Tauler, Franck et Weige
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enté établie ». Toute une carrière de poète et de
philosophe
« à orientation religieuse » avait en effet préparé le climat et la j
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dilemme assez comparable, « par lequel un ancien
Philosophe
prouvait qu’on ne se devait point mêler des affaires de la République
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a Boderie, Ronsard, Psellos, M. Laumonier, et les
philosophes
mystiques de la Renaissance qui « considéraient l’huître comme un con
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u de la banalité, la dénonciation de l’on par nos
philosophes
, et les diatribes marxistes contre l’aliénation. Et comme l’atteste e