1 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le philosophe Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
2 seront-ils plus probants que les définitions d’un philosophe  ? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
3 es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le philosophe thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
4 s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes philosophes marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
5 mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les philosophes de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
5 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 — Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des philosophes , des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
6 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
7 ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les philosophes , le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
7 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
8 e purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des philosophes . Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dir
9 u pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les philosophes pensent dans le réel, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral
10 outes celles qui aient occupé jusqu’à présent les philosophes . Tous les autres débats du xixe perdent leur aiguillon si on les y c