1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
1 notre ère, paraît avoir gardé le sens. Encore, le philosophe du Retour éternel n’en possède-t-il qu’une nostalgie tragique. Car le
2 n’aurait pas déplu à l’humeur shakespearienne du philosophe danois. C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Souvenez-vous de
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
3 Tous les efforts des hommes — y compris ceux des philosophes  — ne sont peut-être que des tentatives pour échapper à cette vision,
3 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
4 se fidèle, en prédicateur responsable, non pas en philosophe ni en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre. Ceci pourrait s
5 la mort. L. — Que savons-nous de l’éternité ? Les philosophes et la raison ne peuvent l’imaginer que morte. Mais la Bible nous dit
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
6 nt la mépriser. (Dix ans de discussions, chez les philosophes de Moscou, ont abouti en 1932 à des définitions tellement abstruses d
7 ce travail d’« autorisation » (Art poétique). Les philosophes y sont contraints professionnellement pourrait-on dire. Mais la plupa
5 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
8 ’ailleurs, et qui seule est vraiment vocation. Un philosophe de la personne verra donc le plus grand intérêt à préciser le parallè
9 ique chez les poètes du rêve et les mystiques. Le philosophe G. von Schubert, comme plus tard le poète Jean-Paul, insistent sur un
10 qu’il n’a commise que par son existence même. Un philosophe mystique tel que Ignaz Troxler n’hésitera pas à élargir le processus