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igueur mesure exactement notre dégénérescence. Le
philosophe
Léon Chestov disait un jour à quelques amis : Il paraît qu’il existe
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seront-ils plus probants que les définitions d’un
philosophe
? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications
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es Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le
philosophe
thomiste est très bien défini : c’est le pouvoir du pape ; c’est celu
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s-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes
philosophes
marxistes tiennent à ce qu’on parle de précédence plutôt que de prima
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mmuniste, à certaines lettres de Engels, etc. Les
philosophes
de Moscou sont loin d’être d’accord là-dessus. Nous y verrons plus cl
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— Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des
philosophes
, des esthètes ! Des philanthropes ! — Je suis d’accord, sauf pour est
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ine erreur de l’Histoire. Tout a commencé par les
philosophes
, le jour où, à la personne créatrice, ils ont substitué pour les beso
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critique des poètes — qu’il opposait à celle des
philosophes
libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique !
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e fonder sur elles un ordre social renouvelé. Des
philosophes
tels que Maritain du côté catholique, Berdiaev du côté orthodoxe, un
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iciens de la Grèce à créer la notion d’atome, les
philosophes
à formuler le principe d’individuation, les législateurs et les artis
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a. C’est ce même terme qui va servir aux premiers
philosophes
chrétiens à désigner la réalité de l’homme dans un monde christianisé