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ipe des encyclopédistes — à la fois démagogues et
philosophes
— qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’es
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quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de
philosophes
? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétique inégalée. (La
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rands symboles de vérité, de force et de beauté. (
Philosophes
, savants et artistes.) À partir du xixe siècle, on voit paraître des
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anarchistes. Presque tous les poètes et tous les
philosophes
poètes, Kierkegaard, Schopenhauer, Baudelaire, Dostoïevski, Rimbaud e
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er notre acte de foi ? ⁂ Le lecteur qui n’est pas
philosophe
ne manquera pas de dire que j’entraîne le problème à une profondeur t
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ands idéalismes est consommée par le triomphe des
philosophes
« existentiels » qui cherchent à saisir l’homme dans son actualité (d
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pour ne rien dire.) Une seule chose intéresse le
philosophe
moderne : les moyens de la connaissance et la conscience qu’il en pre
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oricisme, psychologisme et criticisme… Lorsque le
philosophe
moderne rejette les tentations grossières de la sociologie, il ne se
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ociologie, il ne se veut sérieux qu’en tant qu’il
philosophe
indéfiniment, et récuse toute finalité. Le sérieux de la pensée s’ide
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veut la Troisième République. Gens d’affaires et
philosophes
ont donc commis la même erreur : ils ont cru pouvoir s’en remettre à
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hardie ou simplement actuelle. (La virtuosité des
philosophes
français est la plus remarquable dans cet ordre. Ce sont de véritable
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ent pas). Je ne dis pas cela seulement contre les
philosophes
distingués qui repoussent sans fin les vrais dilemmes pour « continue
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rs, en pittoresque superficiel et discutable. Des
philosophes
aux disciples puissants nous assurent aujourd’hui que le conflit féco
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t que l’acte détruit. 85. « Le difficile pour un
philosophe
, ce n’est pas d’arriver le plus vite possible à la conclusion, mais a
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ux : « se boucher les yeux. » Elle postule que le
philosophe
est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vid