1 1977, L’Avenir est notre affaire. Introduction. Crise de l’avenir
1 ’agriculture au paradoxe », comme l’a bien dit un philosophe contemporain1. L’agriculture c’est, en effet, le premier moyen de co
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
2 onstitue : 1. — On s’était adressé à moi comme «  philosophe  ». Le philosophe étant celui qui pose des questions simples et naïves
3 On s’était adressé à moi comme « philosophe ». Le philosophe étant celui qui pose des questions simples et naïves, je demande : « 
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
4 aisant état de guerre ; alors qu’au Moyen Âge, le philosophe juif Maimonide pouvait écrire : « Avant le départ de l’armée, les hér
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
5 L’État selon Jean Bodin, les rois de France, les philosophes hégéliens du xixe siècle, les sociologues, la plupart des historiens
6 par l’inflation, qu’ils prétendent contrôler. Nos philosophes les imitent en ceci qu’incapables de faire face à la nécessité vitale
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
7 s d’aujourd’hui de la plupart des politologues et philosophes de notre société. Le chef de l’État français déclare d’entrée de jeu 
8 e du « Manifeste communiste », selon laquelle les philosophes jusqu’ici n’ont fait qu’interpréter le Monde, or il s’agit de le tran
9 ansformé le Monde qu’à la mesure de ses moyens de philosophe , c’est-à-dire en l’interprétant. Conscient de la force que peut exerc