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ne peut empêcher que son attitude ne porte un nom
philosophique
: c’est au plus pur, au plus naïf matérialiste que nous avons affaire
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nregistrée. Rien de très neuf dans cette trilogie
philosophique
, mais un bel ensemble d’observations justes et souvent profondes sur
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e thème de la montagne une inspiration lyrique ou
philosophique
génératrice d’œuvres marquantes. Qu’aurions-nous à opposer à un Shell
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héroïque qu’elles inspirent. Ce thème éthique et
philosophique
paraît bien être le plus fécond et le plus adéquat à la nature alpest
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près de Tokyo, dans une atmosphère de discussions
philosophiques
fort curieuse, où les doctrines bouddhistes, chrétiennes, matérialist
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serait des poèmes d’amour, des romans, des drames
philosophiques
, les meilleurs de son époque. Cela ne donnera pas un portrait de Goet
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ace. Dans toute la jeune génération littéraire et
philosophique
, c’est en vain que l’on chercherait un « esprit libre » selon le vœu
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haque homme et tout l’homme, et de déclarer « non
philosophique
» tout ce qui ne tombe pas sous le coup de leurs techniques. On dira
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le fondement réel de la personne ? Est-ce une vue
philosophique
? Est-ce une attitude nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vou
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sur le Mystère ontologique est la première œuvre
philosophique
qu’il ait publiée depuis sa conversion. On est heureux de constater q
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ia sous son nom. Tous ses ouvrages esthétiques et
philosophiques
, de la Répétition à l’Exercice du christianisme, en passant par la Ma
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156. 59. Je ne reviendrai pas, ici, sur l’aspect
philosophique
de cette opposition, que Jean Wahl a remarquablement exposé dans un a
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emarquablement exposé dans un article de la Revue
philosophique
(nov.-déc. 1931). 60. Journal. 61. Le chemin du paradis, p. 269.
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est qu’ils ne constituent pas un système, au sens
philosophique
du mot, mais qu’ils s’impliquent très étroitement les uns les autres,
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finit notre présent ! Est-ce que nos objections «
philosophiques
», et notre crainte du « fatalisme » ne reposent pas, le plus souvent
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s la diversité, nous avons à chercher la position
philosophique
centrale qui fonde la communion humaine dans la liberté. Je l’appelle