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e devient une réalité, une vérité. » À la formule
philosophique
homo finitus non capax infiniti, Barth répond par la formule chrétien
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es années qu’on nous parle de lui dans les revues
philosophiques
et littéraires ! Probablement, il s’en fût amusé : tout ce qui toucha
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btilités du « Séducteur », et qui n’a pas la tête
philosophique
. Cette monographie est à la fois la plus objective et la plus sympath
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t, qui vient de paraître dans la belle collection
philosophique
de MM. Lavelle et Le Senne, appartient à la première période de la pe
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qui peut dire : j’ai cette foi-là ? La réflexion
philosophique
que Kierkegaard enchaîne à l’exemple d’Abraham est admirablement anal
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gique par Karl Barth, et sur le plan d’une poésie
philosophique
par Kierkegaard, c’est la conception même de la vie du chrétien selon
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de fragments de sermons, de boutades, d’analyses
philosophiques
, de poèmes, d’anecdotes, d’aphorismes. On s’y perd bien souvent, on y
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eur histoire y ajouta au cours des âges : notions
philosophiques
grecques, notions juridiques et militaires romaines, notions théologi