1
Dostoïevski dans la bourgeoisie bien-pensante. Le
pittoresque
, le pathétique de l’aventure que vivent quotidiennement les membres d
2
te lecture, passionnante non seulement à cause du
pittoresque
violent des faits, non seulement à cause des plongées directes qu’ell
3
de polémique qui peut flatter en nous le goût du
pittoresque
; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pesante, vraiment
4
n romantique de la grande tradition. Mais tout ce
pittoresque
humain revêt un drame spirituel, le drame de l’absolu chrétien qui dé
5
commande tout naturellement une suite d’incidents
pittoresques
ou dramatiques, à quoi l’auteur ne se prive pas d’ajouter quelques tr