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siècles des tableaux de chevalet, des romans, des
pièces
de théâtre, on donne des concerts. Eh bien ! tout cela n’existait pas
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C’est à ce moment que l’on m’offrit d’écrire une
pièce
pour l’Exposition nationale qui devait s’ouvrir à Zurich l’année suiv
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es se composent. Au matin j’ai tout le plan de la
pièce
et j’en ai vu le paradoxe essentiel : peupler et animer une scène imm
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résume les données, j’esquisse la structure de la
pièce
, suggérée par celle de la scène, et les ressources du canton qui patr
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n’avons eu l’idée de parler du sens profond de la
pièce
, ni de la religion en général, ni de nos positions personnelles à son
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u cadre : « Que l’on vive en 1768 ou en 1968, une
pièce
agréable, une vue reposante, une promenade plaisante, un beau lieu de
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sur la Suisse. Mais aussi pour y faire jouer une
pièce
que j’avais écrite pour l’Exposition nationale de 1939 et qui avait é