1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 , non dans le leur. Je ne prétends pas fonder sur pièces une de ces solutions textuelles et « scientifiques » après quoi, comm
2 la Dame (ou Reine) prendre le pas sur toutes les pièces , sauf sur le Roi, celui-ci se trouvant d’ailleurs réduit à sa moindre
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 lle a tout fait pour cela. Dans la dédicace de sa pièce , il s’adresse en ces termes à un personnage inconnu : « C’est de vous
4 n étonner, comme il se doit, dans un Examen de sa pièce  : « Cet amour de son repos n’empêche point qu’au cinquième acte (Alid
5 e de notre mythe. Mais Racine, dans ses premières pièces , raccourcit la portée du mythe à la mesure d’une psychologie exagérém
6 ant la décision. D’où la duplicité profonde de la pièce . La loi morale, la loi du jour qu’il veut servir désormais, oblige Ra
7 ité, ai-je dit, mais à tel point essentielle à la pièce , constitutive de la crise même d’où elle est née, qu’il serait bien v
8 fut le théâtre de Dumas à Bataille. La fameuse «  pièce à trois personnages », modèle de presque tous les auteurs dramatiques
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
9 la coutume du chevalier de porter le voile ou une pièce du vêtement de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le combat, tou
10 s avaient une artillerie plus légère, et dont les pièces qu’ils appelaient canons étaient toutes de bronze… Les décharges étai
11 es, un des adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors vient la grande bataille : du somme