1 Ni que les vérités utiles soient avouables sur la place . Mais quelle que soit « l’utilité » de mon entreprise, notre sort n’e

2 eiller, il prend l’épée de Tristan et dépose à sa place l’épée royale. Les trois ans écoulés, le philtre cesse d’agir (selon

3 te le cas particulier de notre mythe. Pour qui se place , par un effort d’abstraction, à l’extérieur du phénomène commun au ro

4 pardon — et celui du roi Marc pour Iseut. Ici se place le court dialogue si dramatique entre l’ermite et les deux repentants

5 s près d’elle qu’on ne l’a fait — tout près : sur place , dans le milieu même où elle est née. Et non pas dans le milieu purem

6 manière il inaugura son ministère : sur la grande place d’Assise, en présence de l’évêque et d’une foule immense, il se dépou

7 ns le Midi de la France : par les routes, sur les places , de village en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de

8 lus éclatante. On connaît le curieux sujet de la Place royale, comédie fort désobligeante. Alidor amant d’Angélique, et aimé

9 ns le plan purement psychologique où Corneille se place , le sens du mythe qui gouverne cette action ne peut que lui échapper,

10 célérate, tels sont les parangons qui prennent la place de l’idéal détruit par le xviie siècle. Ce refoulement du mythe par

11 re de ces siècles174. Avec Vauban, le siège d’une place forte devient une sorte d’opération de l’esprit dont les péripéties s

12 res a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors vient la grande bataille : du sommet de quelque coteau

13 ent que les peuples employaient pour se faire une place dans le monde en tant que nations, elle devient le moyen qu’ils prati

14 se, et l’expression « se faire des alliés dans la place  ». 165. Rodomontades espagnoles. 166. Le Déclin du Moyen Âge par

15 esse d’être un démon 200. Et il retrouve sa juste place dans l’économie provisoire de la Création, de l’humain. Le païen ne p