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neau, comme toujours ? Mais l’heure n’est pas aux
plaisanteries
faciles. La condamnation spectaculaire, mais uniquement verbale, du c
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avoué par certains de ses poèmes et trahi par les
plaisanteries
souvent féroces de ses lettres à des petites filles. L’adultère, de n
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tieux » du roman, son réalisme impitoyable et ses
plaisanteries
un peu folles, sauvées (de justesse parfois) de la vulgarité par une