1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 lliam Blake, que « la Chute n’a fait naître aucun plaisir  », et que la volupté dont parle Baudelaire devrait être plutôt nommée
2 otre châtiment, par haine froide. Pour le stérile plaisir d’avoir raison. C’est qu’il s’en tient à la légalité, au bien qu’il c
2 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
3 le rationalisme. (Mais l’homme tient à varier ses plaisirs , ou les prétextes du plaisir.) Elle risque de nous priver des secours
4 tient à varier ses plaisirs, ou les prétextes du plaisir .) Elle risque de nous priver des secours de la raison, comme celle-ci
5 ont pas le cours des choses. Mais l’un des grands plaisirs de l’homme est de prévoir. Il s’imagine, et je ne sais s’il a tort, q
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
6 ient de perdre en Europe pour en avoir abusé sans plaisir . On s’en voudrait de commenter une situation où l’émotion la plus com
7 rsque le sel perd sa saveur, gouverner devient un plaisir , qu’il s’agisse de conduire un peuple ou nos passions. Sur cette croy
4 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
8 e du monde, que nous avions vendue pour un peu de plaisir … 46. Le diable tire les cartes On pressent assez facilement pou
9 scènes du Blocksberg sont le pendant exact de ces plaisirs démoniaques, qui consistent à se perdre soi-même, à se laisser volati
10 as, et qui n’aime pas qu’on aime, et dont tout le plaisir est d’altérer nos vertus dans leur source. Vous le sentirez présent,
5 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
11 l’arbitraire, où l’Arbitre tricheur nous affole à plaisir . Nietzsche a bien vu que la philosophie de ce monde-là ne pouvait êtr