1 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
1 ’expérience de la Renaissance, étendue à toute la planète . Et c’est ici que j’en reviens à mon propos initial. Quels que soient
2 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
2 proclamé aujourd’hui dans toute l’économie de la planète . Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoir une telle cr
3 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
3 proclamé aujourd’hui dans toute l’économie de la planète . Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoir une telle cr
4 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
4 s les plus rapides de sa propagation sur toute la planète , et les agents les plus actifs de son aggravation : machinisme, socié
5 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 es des sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Château de l’Âme
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
6 res de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Château de l’Âme
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
7 res de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Château de l’Âme
8 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
8 aut plus songer, ce serait quitter du même pas la planète … ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est enco
9 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
9 ns une révolte explosive. Le cauchemar envahit la planète . L’humanité comme aliénée se flagella et se meurtrit : elle fait la g
10 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
10 du tarot (arcanes majeurs) s’identifie à : 1. une planète 2. un signe du zodiaque 3. une lettre de l’alphabet hébreu (sens exot
11 ettres appelées doubles qui figurent le monde des planètes  ; puis 12 lettres dites simples qui figurent les 12 signes du zodiaqu
11 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
12 des âges et sur les points les plus divers de la planète . Les romantiques allemands l’ont soupçonné : Jean-Paul invoque la « r
12 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
13 utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la planète . Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
14 penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète . À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
15 nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète , est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient c
13 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
16 lles. Cette idée, c’est l’unité des peuples de la planète , c’est le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la « pensée global
17 sibilité pratique d’un gouvernement fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se proposent à l’esprit avec
14 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
18 dans les salons la possibilité de faire sauter la planète . Les événements qui dépassent l’imagination — et celui-ci ne saurait
15 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
19 oblèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous terres inconnues, et psychologiquement inexplorées.
20 timent le plus direct et le plus contagieux de la planète sont précisément deux poètes : le Saint-John Perse de l’Anabase et de
21 oublie jamais celui qui le premier me parla de la Planète comme d’un amour et d’une souffrance intime !… r. Rougemont Denis
16 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
22 e Français, deux-mille-millions d’habitants de la planète , non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
23 rement au point de départ, après un petit tour de planète . Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
17 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
24 toujours vrai quelque part. C’est un résumé de la planète . On se sent à New York, en particulier, si cosmopolite aujourd’hui, c
18 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
25 ançais, sur deux-mille-millions d’habitants de la Planète , non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
26 rement au point de départ, après un petit tour da planète . Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
19 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
27 de la Terre ? Allons-nous confier le destin de la planète à trois hommes surchargés, débordés, qui n’ont pas une minute pour ré
28 auraient pas d’autre affaire que de considérer la Planète , puis de traiter de haut avec les chefs d’État… Peut-être l’expérienc
20 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
29 oblèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous terres inconnues, et psychologiquement inexplorées.
30 timent le plus direct et le plus contagieux de la planète sont précisément deux poètes : le Saint-John Perse de l’Anabase et de
31 fut « Saint-Ex »13, le premier qui me parla de la Planète comme d’un amour et d’une souffrance intime ? Sinon qu’il fut lui aus
21 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
32 prestige ? Je parie que vous venez de penser à la planète Mars, et à une guerre possible contre les Martiens ? Ne me dites pas
33 s, et de l’anarchie qu’elles entretiennent sur la planète . Je dis que la Bombe peut nous délivrer de deux manières : soit en fa
22 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV. Utopies
34 « capables d’attaquer n’importe quel point de la planète  » en partant des États-Unis. On annonce au surplus que ce mode de tra
23 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII. Un salon atomique
35 dans les salons la possibilité de faire sauter la planète . Les événements qui dépassent l’imagination — et celui-ci ne saurait
24 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX. Paralysie des hommes d’État
36 de la Terre ? Allons-nous confier le destin de la planète à trois hommes surchargés, débordés, qui n’ont pas une minute pour ré
37 auraient pas d’autre affaire que de considérer la Planète , puis de traiter de haut avec les chefs d’État… Mais c’en est trop po
25 1946, Lettres sur la bombe atomique. X. La tâche politique du siècle
38 lles. Cette idée, c’est l’unité des peuples de la planète , c’est le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la « pensée global
39 sibilité pratique d’un gouvernement fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se proposent à l’esprit avec
26 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII. La pensée planétaire
40 très femme ? Et maintenant je vous parlerai de la planète . Le xxe siècle est en train de découvrir ce qu’on savait depuis un c
41 oblèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous terres inconnues, et psychologiquement inexplorées.
42 timent le plus direct et le plus contagieux de la planète sont précisément deux poètes : le Saint-John Perse de l’Anabase et de
43 oublie jamais celui qui le premier me parla de la Planète comme d’un amour et d’une souffrance intime !…
27 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIV. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
44 prestige ? Je parie que vous venez de penser à la planète Mars, et à une guerre possible contre les Martiens ? Ne me dites pas
45 s, et de l’anarchie qu’elles entretiennent sur la planète . Je dis que la Bombe peut nous en délivrer de deux manières : soit en
28 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
46 comme disent les Américains, s’instaure sur notre planète , ce ne sera qu’au nom de ce qui transcende nos attachements nationaux
29 1946, Lettres sur la bombe atomique. IV . Utopies
47 « capables d’attaquer n’importe quel point de la planète  » en partant des États-Unis. On annonce au surplus que ce mode de tra
30 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII . Un salon atomique
48 dans les salons la possibilité de faire sauter la planète . Les événements qui passent l’imagination — et la Bombe m’en paraît l
31 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX . Paralysie des hommes d’État
49 de la Terre ? Allons-nous confier le destin de la planète à trois hommes surchargés, débordés, qui n’ont pas une minute pour ré
50 auraient pas d’autre affaire que de considérer la planète , puis de traiter de haut avec les chefs d’État… Mais c’en est trop po
32 1946, Lettres sur la bombe atomique. X . La tâche politique du siècle
51 lles. Cette idée, c’est l’unité des peuples de la planète , c’est le rêve d’un gouvernement planétaire, c’est la « pensée global
52 sibilité pratique d’un gouvernement fédéral de la planète nous sont apparues simultanément. Elles se proposent à l’esprit avec
33 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII . La pensée planétaire
53 très femme ? Et maintenant je vous parlerai de la planète . Le xxe siècle est en train de découvrir ce qu’on savait depuis un c
54 oblèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous terres inconnues, et psychologiquement inexplorées.
55 timent le plus direct et le plus contagieux de la planète sont précisément deux poètes : le Saint-John Perse de l’Anabase et de
56 e fut « Saint-Ex », le premier qui me parla de la Planète comme d’un amour et d’une angoisse intime, sinon qu’il fut lui aussi
34 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIV . Problème curieux que pose le gouvernement mondial
57 prestige ? Je parie que vous venez de penser à la planète Mars, et à une guerre possible contre les Martiens ? Ne me dites pas
58 s, et de l’anarchie qu’elles entretiennent sur la planète . Je dis que la Bombe peut nous en délivrer de deux manières : soit en
35 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
59 , l’Europe apparaît comme une petite région de la planète proprement stupéfiante par la densité de ses inventions, tandis que l
60 mon avis l’espèce d’homme la plus sérieuse de la planète . Cependant ses chansons, son théâtre d’avant-guerre, ses romans à suc
36 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
61 pe peut y contribuer, elle aura bien mérité de la planète . Comment l’Amérique peut aider l’Europe Seuls, les Européens —
37 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
62 aut plus songer, ce serait quitter du même pas la planète … ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est enco
38 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
63 scend dans ces contrées les plus humanisées de la planète , le long du Rhône, dans l’invincible euphorie des approches du Midi ?
39 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
64 se venir ceux qui lui apportent les rumeurs de la planète . Mais l’un questionne et l’autre parle. Il parle de Briand qu’il a se
65 utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la planète . Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
66 penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète . À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
67 nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète , est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient
40 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
68 ter contre des forces brusquement disparues de la planète , — lutte inutile désormais, vaine une fois le danger disparu ? Oui, s
41 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
69 de Français, sur 2000 millions d’habitants de la planète , non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
70 rement au point de départ, après un petit tour de planète . Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
42 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
71 r quitté la guerre. « Journal d’un habitant de la planète en guerre » ce serait un titre assez exact. Mais je suis d’un pays, e
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
72 aut plus songer, ce serait quitter du même pas la planète … ⁂ Un vers du temps — d’un peu plus tard, sans doute, mais c’est enco
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
73 scend dans ces contrées les plus humanisées de la planète , le long du Rhône, dans l’invincible euphorie des approches du Midi ?
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
74 se venir ceux qui lui apportent les rumeurs de la planète . Mais l’un questionne et l’autre parle. Il parle de Briand qu’il a se
75 utal. Comme chaque jour à New York, je pense à la planète . Mais je ne puis penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la pl
76 penser aujourd’hui qu’aux climats inhumains de la planète . À ces îles des tropiques où le litre de rhum qu’on boit par jour et
77 nt pas toutefois que ce climat « normal », sur la planète , est une exception surprenante. Tout ce que nos pères considéraient c
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
78 ter contre des forces brusquement disparues de la planète , — lutte inutile désormais, vaine une fois le danger disparu ? Oui, s
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
79 e Français, sur trois milliards d’habitants de la planète , non moins réels, guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherc
80 rement au point de départ, après un petit tour de planète . Nous changeons de continent comme on part en week-end. Le mot partir
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
81 r quitté la guerre. « Journal d’un habitant de la planète en guerre » serait un titre assez exact. Mais je suis d’un pays, et q
49 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
82 tement improbables, très rarement observés sur la planète , et que la presse devrait mettre en vedette, au lieu de nous rebattre
50 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
83 érialiste ou généreuse, l’Europe a diffusé sur la planète , sans distinction, ses découvertes et ses utopies, les secrets mêmes
84 , le grand commerce et jusqu’à la curiosité de la planète  ! Tout cela dans l’espace de trente ans, et sans retour possible, à v
85 t de se définir ; elle était seule et reine de la planète . Mais en 1946, elle se voit affrontée à deux empires. Du même coup el
86 iches d’avenir, pour tous les autres hommes de la planète . Mais, riches d’avenir… oui, s’il est un avenir, non seulement pour l
87 ir du monde se résume dans ce simple dilemme : la Planète unie ou la Bombe. Et je veux dire : Si les États-Unis et la Russie ne
51 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
88 comme disent les Américains, s’instaure sur notre planète , ce ne sera qu’au nom de ce qui transcende nos attachements nationaux
52 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
89 se venir ceux qui lui apportent les rumeurs de la planète . Mais l’un questionne et l’autre parle. Il parle de Briand qu’il a se
53 1947, Vivre en Amérique. IV. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
90 s êtres les plus ouverts et les plus francs de la planète . Il ne vous cachera ni ses opinions sociales, ni le montant de ses re
91 mon avis l’espèce d’homme la plus sérieuse de la planète . Cependant ses chansons, son théâtre d’avant-guerre, ses romans à suc
92 , l’Europe apparaît comme une petite région de la planète proprement stupéfiante par la densité de ses inventions, tandis que l
93 pe peut y contribuer, elle aura bien mérité de la planète . 18.Comment l’Amérique peut aider l’Europe Seuls, les Européens
54 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
94 distribuer plus équitablement les richesses de la planète . Guerre, autarcie, inégalité économique, les trois phénomènes sont li
95 uvent plus être désormais qu’aux dimensions de la planète . k. Rougemont Denis de, « Fédération ou dictature mondiale ? », Ca
55 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
96 rs et pratiques s’est élargi aux dimensions de la planète . Que faire de ces informations en vrac, dont chacune signale une mena
56 1947, Tapuscrits divers (1936-1947). Idées françaises (décembre 1947)
97 le climat normal de l’homme, oubliant que sur la planète c’est une exception surprenante et non moins anormale, dirait-on, que
57 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
98 i devant les réalités qui dominent aujourd’hui la planète . Le défaitisme consiste à déclarer que la guerre des deux blocs est f
58 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
99 la durée généralement admise de l’humanité sur la planète . D’où il résulte que notre expérience fédérale ne représente guère qu
59 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
100 matière mais dans l’homme. Notre existence sur la planète n’est plus menacée par les éléments, mais par nos machines, c’est-à-d
101 et presque instantanés sur toute l’étendue de la planète . Pour la première fois dans l’histoire du monde, il n’y a plus qu’une
60 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
102 verse et créatrice qu’en toute autre région de la planète . Mais il faut rendre ici au mot de culture son sens le plus large et
61 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
103 érialiste ou généreuse, l’Europe a diffusé sur la planète , sans distinction, ses découvertes et ses utopies, les secrets mêmes
104 , le grand commerce et jusqu’à la curiosité de la planète  ! Tout cela dans l’espace de trente ans, et sans retour possible, à v
105 t de se définir ; elle était seule et reine de la planète . Mais en 1946, elle se voit affrontée à deux empires. Du même coup el
106 iches d’avenir, pour tous les autres hommes de la planète . Mais, riches d’avenir… oui, s’il est un avenir, non seulement pour l
107 ir du monde se résume dans ce simple dilemme : la Planète unie ou la Bombe. Et je veux dire : Si les États-Unis et la Russie n
62 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
108 i devant les réalités qui dominent aujourd’hui la planète . Le défaitisme consiste à déclarer que la guerre des deux blocs est f
63 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
109 gie, et d’invention, et de puissance réelle de la planète , c’est parce qu’elle a compensé par l’esprit, en abstractions et en s
64 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
110 ’invention sans égale et qui rayonne sur toute la planète , c’est à l’esprit de ses habitants, c’est à sa culture qu’il le doit.
65 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
111  : Devant le nez des premiers enthousiastes de la Planète unie par les peuples unis — et j’en étais — un certain rideau de fer
66 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (27 juin 1949)
112 sa population : moins d’un sixième de celle de la Planète . Non, l’Europe a régné par sa culture, qui, pour le bien comme pour l
67 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
113 ervage de centaines de millions d’habitants de la planète . Finalement, elle a dominé d’une manière beaucoup plus subtile, et pe
68 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
114 e l’Asie, quatre pour cent de la superficie de la planète . Toute sa grandeur venait de sa culture, qui pour le bien comme pour
115 ion ou d’annexion. Naguère encore maîtresse de la planète , elle en est réduite à lutter pour assurer sa survivance économique,
69 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La guerre impossible (20 février 1950)
116 d’un journaliste qui débarquait tout droit de la planète Mars, sortant d’une somptueuse fusée-limousine à l’hydrogène atomique
117 uerre ? m’a demandé le journaliste débarqué de la planète Mars. Je me suis senti assez embarrassé. J’avais peut-être un peu hon
118 posez-vous ? me dit le journaliste descendu de la planète Mars. — Je propose de constituer une puissance qui s’interpose entre
70 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — De l’Europe au monde (20 mars 1950)
119 parfois l’impression que s’ils apprenaient que la planète Mars est habitée, ils songeraient à lui proposer sans retard un parle
71 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Branle-bas mondial (17 avril 1950)
120 l’Orient et de l’Occident, des deux moitiés de la Planète , prêtes à s’unir chacune de son côté, et contre l’autre. Une gigantes
72 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Valeur de l’Europe (12 juin 1950)
121 ulture qui a fait l’Europe, cœur et cerveau de la planète . C’est la culture qui a fait de notre péninsule tout autre chose que
73 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
122 tiers de l’électricité que produit aujourd’hui la planète . Nous disposons surtout de ressources humaines qui n’ont pas leurs ég
74 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
123 destin dont nous cherchons en vain l’égal sur la Planète  ? Sans remonter jusqu’au déluge, ni même jusqu’aux Anciens qui manque
75 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
124 destin dont nous cherchons en vain l’égal sur la Planète  ? Sans remonter jusqu’au déluge, ni même jusqu’aux Anciens qui manque
76 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Serment de Strasbourg (2 octobre 1950)
125 t Paul Valéry — la partie la plus précieuse de la planète . Un groupe de députés parmi lesquels on remarquait MM. André Philip,
77 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
126 ope ne représente qu’à peine 5 % des terres de la planète . D’où vient alors qu’elle ait dominé le monde entier pendant des sièc
127 tre homme produite par les familles connues de la planète . Il ne pouvait faire autrement. Je parle des derniers mille ans. Mais
128 occidentale, la seule qui ait su couvrir toute la planète . Mais ce foyer fatalement s’éteindra si la puissance doit nous être i
129 tiers de l’électricité que produit aujourd’hui la planète . Nous disposons surtout de ressources humaines qui n’ont pas leurs ég
78 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
130 ut donc définir l’Europe comme cette partie de la planète où l’homme, sans relâche, se remet en question, et veut changer le mo
79 1952, Articles divers (1951-1956). Grandeur de la Petite Europe (5 décembre 1952)
131 de leurs écoles d’art et de pensée s’étend sur la planète entière. « Petite Europe ? » La Sibérie, certes, est plus vaste… Il n
80 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
132 urelle qui survole toutes les civilisations de la planète ne peut se donner qu’un but très vague, mal défini et presque vide de
81 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
133 urelle qui survole toutes les civilisations de la planète ne peut se donner qu’un but très vague, mal défini et presque vide de
82 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
134 ont intérêt à répandre leurs secrets sur toute la planète , quitte à en pâtir plus tard si les peuples ne s’unissent pas. ⁂ L’es
83 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
135 ap de l’Asie » comme on sait, de dominer toute la Planète . C’est la technique et son progrès constant qui doit maintenir nos po
84 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
136 dieu du feu — qui apparaît sur deux points de la planète au Caucase et en Chine, semble-t-il — c’est d’abord communier avec lu
137 tiers de la population — fortement accrue — de la planète , travaillant quatre heures par semaine, pour que tous nos besoins « m
85 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
138 tement improbables, très rarement observés sur la planète , et que la presse devrait mettre en vedette, au lieu de nous rebattre
86 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
139 toire et la colère des peuples l’ait balayé de la planète , le communisme russe peut encore écraser d’autres capitales de l’Euro
87 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
140 a découverte de la Lune et la navigation vers les planètes , qui n’est qu’un rêve encore pour cette génération, se réalise au xxe
88 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
141 és et morts depuis qu’il y a des hommes sur cette planète  ? Si un démographe génial pouvait nous dire demain que la réponse est
89 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
142 ssitôt à calculer l’exploration possible d’autres planètes , cousines germaines à x années-lumière. Ceci dans un cosmos dont notr
143 commence où l’homme explorerait la surface de la planète , puis sonderait ses profondeurs, puis les profondeurs de l’espace inf
144 de ce que nous trouverons éventuellement sur les planètes  : on dira que nous étions partis à cause de cela ! 53. Salvador de M
90 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
145 n tiers de la population (fortement accrue) de la planète , donne 4 heures de travail par semaine, pour que tous nos besoins « m
146 dieu du feu qui apparaît — sur deux points de la planète , au Caucase et en Chine, semble-t-il — c’est d’abord communier avec l
91 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre X. Le drame occidental
147 otalité — enfin connue, et par elle seule — de la planète  ; elle a non seulement influencé, colonisé ou vassalisé selon les cas
148 mps, toutes les autres régions additionnées de la planète , mais enfin c’est donné, une fois pour toutes.) On peut penser que le
149 e pensaient le plus grand, dans leur canton de la planète . Mais l’Europe la première a rendu l’histoire du monde simultanée. To
92 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
150 és et morts depuis qu’il y a des hommes sur cette planète  ? Si un démographe génial pouvait nous dire demain que la réponse est
93 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
151 a puissance mondiale de l’Europe, qui dominait la planète depuis des siècles. Deux grands empires unifiés et possédant des arme
94 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
152 n tiers de la population (fortement accrue) de la planète donne 4 heures de travail par semaine, pour que tous nos besoins « ma
95 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
153 ent de la conscience humaine aux dimensions de la planète fait apparaître la psyché du monde bourgeois (seule étudiée par Freud
96 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
154 de l’Europe. Mais où voit-on cette décadence ? La planète entière est en train de s’occidentaliser. Personne ne se convertit au
97 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
155 eau de transports réguliers entre la Terre et les planètes les plus proches. La Terre sera entourée de toute une famille de sate
156 as « découverts » par des êtres pensants d’autres planètes avant que nous les ayons visités sur leur globe, il en ira de l’avent
157 esterait qu’à demander à la science de changer de planète . » Dernière pudeur Notre Europe, dira-t-on, dans cette immense
98 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
158 , condition de son rayonnement énergétique sur la Planète , quelques dizaines d’intellectuels de diverses régions du continent o
99 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
159 culture) mettons qu’elle est égale à celle de la planète  : littéralement tout englobante. Cependant, les raisons qu’on invoque
100 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
160 diale qu’exerçait l’Europe, sans conteste, sur la planète entière depuis la Renaissance. Il y a la perte d’une grande partie de
161 ilisation mondiale. N’a-t-elle pas répandu sur la planète entière ses machines, ses formes de gouvernement, son hygiène — d’où
162 uvelle royauté pacifique de l’Europe sur toute la planète , si nous savons à temps nous unir, et celle d’un asservissement de l’