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ut de tout pour faire une Suisse, surtout dans le
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de la culture. Il faut d’abord des hommes comme Ramuz, qui représente
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osition, c’est-à-dire ayant son fondement dans le
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terrestre, dans l’homme. Seul un point qui serait au-delà de notre mo
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comprend trois étages ou, si vous préférez, trois
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superposés. Dès lors tout se clarifie. Immédiatement on sent que les
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nage central, c’est Nicolas de Flue. Il évolue du
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inférieur au plan supérieur et entraîne avec lui un des composants du
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t Nicolas de Flue. Il évolue du plan inférieur au
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supérieur et entraîne avec lui un des composants du spectacle, soit l
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ille à occuper l’énorme scène dont j’avais vu les
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. On insista, je demandai trois jours « pour réfléchir », et n’en fis
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ine, c’était le rôle joué par un individu dans le
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de l’État. La personne chrétienne, ce sera le rôle que Dieu attribue
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ersonnelles : tout cela, Calvin l’a voulu dans un
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strictement ecclésiastique, c’est vrai. Mais il était inévitable et n
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quand ils le purent, proposèrent au contraire des
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d’allure et d’intention nettement fédéralistes. L’absolutisme, la con
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agira sur le degré inférieur de la scène à trois
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dont j’ai vu le projet. Une masse plus réduite agira sur le degré méd
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etit chœur caché derrière le degré supérieur — le
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de la Solitude — représentera les voix célestes, appelant Nicolas et
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acte, Nicolas quitte le monde, il s’élève donc du
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2 au plan 3. Au deuxième acte, le monde vient à lui : les chœurs grav
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las quitte le monde, il s’élève donc du plan 2 au
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3. Au deuxième acte, le monde vient à lui : les chœurs gravissent et
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t et redescendent les escaliers qui conduisent du
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1 au plan 3. Au troisième acte, Nicolas sacrifie sa solitude pour le
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cendent les escaliers qui conduisent du plan 1 au
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3. Au troisième acte, Nicolas sacrifie sa solitude pour le salut des
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olitude pour le salut des Suisses : il descend du
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3 au plan 2. Deux mots à propos de la musique. On a défini le Festspi
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ur le salut des Suisses : il descend du plan 3 au
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2. Deux mots à propos de la musique. On a défini le Festspiel suisse
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e un type dangereux ou très méchant. Ceci pour le
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des idées. Sur le plan de la morale, c’est pire encore. Je ne vais pa
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dans le conflit spirituel. Chose étrange, sur ce
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-là, nous combattons en tant que neutres, justement ! Affirmer la miss
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lité morale, et même spirituelle. Et c’est sur ce
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décisif qu’il nous reste le plus à faire. Il nous reste, par exemple,