1 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
1 olument comprendre, et même sentir : sur tous les plans , qui dit fédéralisme dit toujours à la fois deux choses, pense à la f
2 ore : risque et assurance. Partout, dans tous les plans , la formule est la même. Qu’il s’agisse de contrats privés ou de poli
3 , et avec toutes les classes. Ce n’est pas sur ce plan que sont nos adversaires. Il y a ceux qui nous disent : Nous ne boudo
2 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
4 pour nous autres Suisses. Mais si nous passons du plan de cette microhistoire à l’histoire générale, tout change. Nous voyon
5 ration. Elle n’est pas une utopie à rejoindre, un plan statique à réaliser en x années par la réduction impitoyable des rési
6 Fédérer, ce n’est pas mettre en ordre d’après un plan géométrique, à partir d’un centre ou d’un axe, mais arranger ensemble
7 er les réalités d’un trait de plume, de tirer des plans à la règle et de forcer ensuite leur réalisation en écrasant tout ce
3 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
8 olument comprendre, et même sentir : sur tous les plans , qui dit fédéralisme dit toujours à la fois deux choses, pense à la f
9 ore : risque et assurance. Partout, dans tous les plans , la formule est la même. Qu’il s’agisse de contrats privés ou de poli
10 , et avec toutes les classes. Ce n’est pas sur ce plan que sont nos adversaires. Mais en préconisant le fédéralisme à tous l
11 rise d’abord, puis à l’échelle nationale, puis au plan européen, et finalement au plan mondial nous savons bien que nous heu
12 ationale, puis au plan européen, et finalement au plan mondial nous savons bien que nous heurtons certaines habitudes de pen
13 a Conférence des Cinq va peut-être accepter notre plan de Parlement européen. Cette assemblée, que nous voulons élue à la fo
4 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
14 lturelles » de tous ordres, qui se placent sur un plan européen. Deux exemples entre vingt : le Bureau d’études de Genève vi
5 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
15 Centre culturel. Le besoin est donc reconnu, les plans sont là. La Conférence décidera du sort qu’il faut leur réserver. Il
16 us ici, nous ne sommes pas réunis pour tracer des plans d’innocence et de prospérité organisée. Nous tenterons, sobrement, de
6 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
17 é. Drôle d’évidence. (C’est l’OECE qui est née du plan Marshall.) 4° M. Spaak est un homme d’État qui agit plus que tout aut
7 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
18 e nous laissons jamais aller à placer sur le même plan l’Amérique et la Russie. Deux constatations très simples me suffiront
8 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
19 ubstituer, en fait, les Pouvoirs à l’Autorité. Le plan Schuman, parce qu’il est né d’une décision proprement politique, pour