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olument comprendre, et même sentir : sur tous les
plans
, qui dit fédéralisme dit toujours à la fois deux choses, pense à la f
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ore : risque et assurance. Partout, dans tous les
plans
, la formule est la même. Qu’il s’agisse de contrats privés ou de poli
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, et avec toutes les classes. Ce n’est pas sur ce
plan
que sont nos adversaires. Il y a ceux qui nous disent : Nous ne boudo
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pour nous autres Suisses. Mais si nous passons du
plan
de cette microhistoire à l’histoire générale, tout change. Nous voyon
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ration. Elle n’est pas une utopie à rejoindre, un
plan
statique à réaliser en x années par la réduction impitoyable des rési
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Fédérer, ce n’est pas mettre en ordre d’après un
plan
géométrique, à partir d’un centre ou d’un axe, mais arranger ensemble
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er les réalités d’un trait de plume, de tirer des
plans
à la règle et de forcer ensuite leur réalisation en écrasant tout ce
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olument comprendre, et même sentir : sur tous les
plans
, qui dit fédéralisme dit toujours à la fois deux choses, pense à la f
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ore : risque et assurance. Partout, dans tous les
plans
, la formule est la même. Qu’il s’agisse de contrats privés ou de poli
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, et avec toutes les classes. Ce n’est pas sur ce
plan
que sont nos adversaires. Mais en préconisant le fédéralisme à tous l
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rise d’abord, puis à l’échelle nationale, puis au
plan
européen, et finalement au plan mondial nous savons bien que nous heu
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ationale, puis au plan européen, et finalement au
plan
mondial nous savons bien que nous heurtons certaines habitudes de pen
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a Conférence des Cinq va peut-être accepter notre
plan
de Parlement européen. Cette assemblée, que nous voulons élue à la fo
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lturelles » de tous ordres, qui se placent sur un
plan
européen. Deux exemples entre vingt : le Bureau d’études de Genève vi
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Centre culturel. Le besoin est donc reconnu, les
plans
sont là. La Conférence décidera du sort qu’il faut leur réserver. Il
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us ici, nous ne sommes pas réunis pour tracer des
plans
d’innocence et de prospérité organisée. Nous tenterons, sobrement, de
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é. Drôle d’évidence. (C’est l’OECE qui est née du
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Marshall.) 4° M. Spaak est un homme d’État qui agit plus que tout aut
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e nous laissons jamais aller à placer sur le même
plan
l’Amérique et la Russie. Deux constatations très simples me suffiront
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ubstituer, en fait, les Pouvoirs à l’Autorité. Le
plan
Schuman, parce qu’il est né d’une décision proprement politique, pour